Ouh ! qu'ils sont vilains !!!

Catharsis :

Selon Aristote, phénomène de libération des passions qui se produit chez les spectateurs lors de la représentation d'une tragédie.
[psychanalyse] Phénomène de libération à caractère émotionnel résultant de l'extériorisation d'affects refoulés dans le subconscient.

A la différence du foot qui attise les passions de beaucoup trop de primates, le métal les canalise et les extirpe hors de la tête encombrée de ses fans.

Pour être allé de nombreuses fois en concert de heavy, speed, power, thrash, black, death, etc... bidule-metal, je peux vous garantir que le métalleux de base partage avec le footeux moyen le même amour de la bière de médiocre qualité, certes ; mais qu'il n'aura pas envie d'exploser ses prochains.

Le métalleux est un animal paradoxal, il s'habille en noir, avec éventuellement des clous, des bagues à tête de mort, des t-shirts avec des motifs morbides, il peut se maquiller comme un vampire.

Bref un look plus proche de Conan le Barbare que de Jules Petibidon, analyste financier à la Soc' Gén'.

Par contre, il est d'un contact facile, du moment qu'on parle de sujet en rapport avec notre musique de furieux.

Inutile de s'appesantir sur la supposée excentricité de Julien Doré, on peut y opposer celle de Mike Patton : http://www.youtube.com/watch?v=LxNDKsyvMOI

Les prouesses vocales de Christophe Willem ne remporteront pas de suffrages face à, par exemple, Bruce Dickinson : http://www.youtube.com/watch?v=7vP2hFFV57E ou Rob Halford :

http://www.dailymotion.com/video/x6762a_judas-priest-dreamer-deceiver_music (profitez, c'est calme, ça !)

Amandine fera doucement rigoler des fans de Nightwish :

http://www.dailymotion.com/video/xvmuw_nightwish-over-the-hills-and-far-aw_music

Soan et ses maquillages ??? pfff.... http://www.youtube.com/watch?v=49ZJqqrr6jk

Donc, évitez les sujets qui fâchent. Va-t-on au Parc des Princes hurler « On craint dégun !!! ».

Nooooooonnn ! Ou alors, c'est une forme de suicide !!!

Ben, justement, quand je suis allé au PdP voir autre chose que Metallica et Maiden, … ben un match de foot avec mon gamin, j'étais un brin surpris, un tantinet désappointé lorsque je vis quasiment tout un virage faire le salut nazi pour saluer l'entrée des joueurs du P.S.G.

Gasp...

A l'entrée et à la sortie, des C.R.S. nous tenaient quasiment la main, tellement y en avait...

Et ça, on n'en parle pas sur TF1 et autres médias #####...

Jamais vu ça chez les métalleux.

Des tronches de barbares, mais des gens très gentils finalement.

Evidemment pour le bourgeois, le metal, c'est la lie de l'humanité. Il oublie, le cuistre, qu'il avait un t-shirt « Kiss » quand il était môme.

« Ah, mais oui, mais ça c'était de la bonne musique ! »

…

Sans blague !... (censuré)

Et nos grand-parents avaient peur des Rolling Stones ou d'Elvis, …

« Que des voyous et dépravés, ma bonne dame, que d'la raclure, j'vous dis !!! »

Je sais pas pour vous, mais ces musiques de furieux ont l'immense avantage de drainer les pulsions les plus violentes hors de moi.

Quand j'ai envie de massacrer des collègues à coup de barres de titane (léger et solide, bien plus maniables que les barres de fer), ou encore de dépecer des fâcheux vampires avec un scalpel rouillé et émoussé, un p'tit coup de Meshuggah, et ça va !!!

http://www.dailymotion.com/video/x5o2ba_meshuggahbleed_music

Vot' copine (mec) vous a largué(e) ? Allez hop, Gojira, et ça va !!!

http://www.youtube.com/watch?v=JF4XwUu0r18

Vot' boss refuse une augmentation ? In Flames, et ça va !!!

http://video.google.com/videoplay?docid=-4590686096379275344#

Vot' moche-mère est un poison ? System of a down, tous en choeur !!!

http://www.youtube.com/watch?v=W8i4tNPUG8Q

Vot' anniv' est passé à la trappe ? Encore SOAD :

http://www.youtube.com/watch?v=nSiTbkpbnUs

tout en essayant de suivre Serj Tankian

C'est vraiment la loose ? Faut sortir l'artillerie lourde !!!

Par exemple : http://www.dailymotion.com/video/xissg_nile-sacrifice-unto-sebek_music

Bon, alors... ça va mieux, non ?

 

Tout à fait le genre de phrase que vot' prof de français aurait biffé de pleins de traits sanglants et rageurs en mettant en commentaires définitifs dans la marge : « Trop d'emphase ! ».

Bah, oui, mais ya des phrases comme ça, des films avec pleins de ces machins-bidules, lourds comme pourrait l'être une fondue suisse paléolithique (le carbone 14 faisant foi).

A moins de s'envoyer au moins une boutanche de blanc de Savoie par personne, on risque pô de la digérer la fondue.

J'ai d'ailleurs une préférence pour les blancs d'Alsace, mais... vous vous en foutez, et vous avez tort, c'est d'la balle, c'est trop d'la balle !

Mais votre prof' de français en est certainement resté au Tilleul-Verveine pour se défoncer le soir. Il n'a pas essayé l'alcool à bruler, ni l'eau de Cologne.

Tous les décérébrés qui se reconnaitront dans cet article ont depuis belle lurette grillé leur neurones avec des substances que même les raffineries de pétrole n'osent plus mettre dans l'essence depuis les normes Euro1, 2 et 3.

Donc, si vous êtes aussi cramés que moi, vous voyez de quoi je cause : des phrases-clés, autant de signatures reconnaissables que les cailloux phosphorescents laissés par le Petit Poucet 2010 (il s'est modernisé le môme, il a pris de la peinture chez Casto et a piqué des lunettes infra-rouge chez « Voyeurs et Cie »).

Ces petites phrases sont les pépites que les aficionados se lancent au détour d'une conversation et qui déclenchent entre frères lobotomisés des salves de fou-rire, quand la bière coule à flot, ou un petit sourire complice, en des circonstances plus feutrée : à la messe, par exemple, ou un déjeuner dans votre Moche-Famille...

Et on ne les compte plus...

« Luke, je suis ton père. »

« Il ne peut en rester qu'un. »

« I'll be back. » ça sonne mieux en angliche, quand même, surtout, avec un anglais mâtiné d'un très fort accent germanique... ah ah ah !

« Le dormeur doit se réveiller. »

« Anál nathrach, orth’ bháis’s bethad, do chél dénmha »

« Tous ces moments seront perdus, comme des larmes dans la pluie »

« - Qui êtes-vous ?
- Je suis la mère du monstre. »

« Personne n'est parfait !  »

« J'adore l'odeur du napalm le matin ! »

« As-tu jamais dancé avec le Diable au clair de lune ? »

« Réveille-toi, c'est l'heure de mourir ! »

« Je vais te tuer avec ma tasse à thé. »

« Je suis très désappointé !!! »

« On peut tromper mille fois mille personnes, non, on peut tromper une fois mille personnes, mais on ne peut pas tromper mille fois mille personnes. Non, on peut tromper une fois mille personne mais on peut pas tromper mille fois une personne. Non... »

« On ne sent pas le cul des gens !!! »

« Chez Priba, les prix sont bas !!! »

Rien que l'affiche...

Il y a une naïveté éternellement virginale dans le fan de nanard cinématographique.

Ou de connerie obsessionnelle qui le pousse maintes et maintes fois, telle une Pénélope devant son projecteur, à traquer le suprême instant de bon goût dans ces films pas forcément ratés mais fatalement ridicules.

Au moment fatidique où l'on peut encore reprendre le DVD dans la gueule béante et helvétiquement neutre du lecteur ou face à la caissière blasée qui pousse la carte de crédit dans la fente diabolique qui va déclencher une micro-avalanche de gâchis pécuniaire dans votre compte en banque affamé (mais pas FMI pour antant). A ce moment-là où tout peut basculer : le destin d'une soirée stupide à regarder un abime de médiocrité qui fait ressembler la grande fosse des Mariannes (pas très loin du Japon, … enfin presque … regardez sur wikipedia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fosse_des_Mariannes ) pour une goutte d'eau.

A cet instant précis, vous décidez, envers et contre tout : votre femme, si elle n'est pas partie avec un amateur de Pasolini, votre chien, s'il ne s'est pas suicidé avec des croquettes OGM, etc..., vous persistez dans cet acte masochiste à regarder une sombre bouse.

Hé bien, toi, décérébré lecteur, mon semblable, mon frère, sache que tu as trouvé sur cette URL salvatrice (mais fais-en la pub' autour de toi) un allié de choix.

Oui, je te comprends. Et je le clame haut et fort avec ma voix de baryton-basse mâtinée de grunt à décoller les papiers-peints et faire venir les flics en pleine nuit avec des fusils anesthésiants, oui, moi aussi, je cherche la pépite, l'instant de génie dans les nanards.

Stephen King, qui bien qu'auteur alimentaire de talent, a proféré une fois cette phrase sans appel :

« qui n'aime pas les nanards n'aime pas le cinéma ».

Hé bien, oui, frères et sœurs du médiocre (surtout frères, d'ailleurs, les femmes sont moins sensibles aux sombres bouses, un peu comme les films de boules, étonnant, non ?), je vous ai compris.

Et ce n'est pas pour vous renier dans quelques articles comme le ferait un clone de De Gaulle élevé aux hormones de synthèse. Sans déc', je vous ai compris.

Tenez, voici quelques exemples. Si vous arrivez à survivre, continuez à lire. Sinon, retournez aux « Cahiers du cinéma ». Ou alors, servez-vous une bonne ration de Mezcal-Pamplemousse en inversant les proportions, faites-vous une tisane avec des plantes à 5 feuilles, ou faites-vous lécher les pieds enduits de sel par une chèvre : attention, on est à la limite de la zoophilie...

http://www.youtube.com/watch?v=ZH_5vGZOlZc

http://www.youtube.com/watch?v=A1S_CwV1Zic

Vous êtes encore là ?

Merci, c'est gentil, sachez dès maintenant que vous êtes irrécupérables et que la science ne peut rien pour vous.

Donc quitte à agoniser, autant que ce soit dans des convulsions hautement jubilatoires, et laissons les scenarii catastrophes aux économistes. De toute façon, je n'ai jamais entravé le début du commencement de quoi que ce soit à cette science absconse... Sans doute suis-je trop con ? Si, si. J'avoue. Et abstrait aussi, d'où la confusion méta-linguistique qui en résulte. Et la schizophrénie sous-jacente.

Je suis justement à la recherche du « Beowulf » de référence nanardesque avec Christophe Lambert.

Et finalement, comment un acteur qui semblait avoir pleins de qualités, à l'époque, on ne disait pas encore « bankable » a-t-il fini comme l'un des Maîtres incontestés du genre ?

Il a joué dans « Greystoke » avec la délicieuse Andy Mc Dowell et le subtil Ian Holm. Il a fait ensuite un faux film d'auteur « Paroles et musiques » puis un film d'action malheureusement trop daté 80's : « Highlander »... « Here we are, born to be kings, we're the princes of the Universe » pas la meilleure chanson de Queen... Mais à l'époque, ça a marché. Si, si. Les moins de 40 piges ne peuvent justement pas piger la magie de ces mises en scène « Flashdance » ou « Dirty dancing », mais ça le faisait.

Il a tourné ensuite avec Marco Ferreri, réalisateur italien de mauvais goût mais qui a toujours son fauteuil réservé au festival de Cannes. Une espèce de Pasolini en plus light question pelloche mais plus lourd pour le tour de taille.

Ensuite, Michael Cimino, génial réalisateur du « Voyage au bout de l'enfer » coule avec lui dans le « Sicilien ». Double naufrage un peu comme si la navette Challenger s'était écrasée sur le Titanic déjà en train de couler : une double catastrophe. Ni l'un, ni l'autre ne s'en sont remis. Je parle bien sûr de Cimino et Lambert. Vous suivez ? Bien !

Mais d'autres acteurs ont fait le chemin inverse :

Schwartzie : http://www.youtube.com/watch?v=mvhfdZz9AuU dans cet OVNI gréco-newyorkais.

Puis ensuite, dans une oeuvre mainte fois décriée mais d'un romantisme haletant (la scène avec Valeria) et d'un souffle épique : http://www.youtube.com/watch?v=5VvzOb-1OJw

des dialogues finement ciselés au fil d'une épée que ne renierait point le Roi Arthur lui-même quelques siècles plus tard : http://www.youtube.com/watch?v=z0Gd7nQY9ww

Maintenant, il a quasiment ruiné la Californie... Alors que George W. Bush n'a montré aucune aptitude pour le cinéma. Je suis impatient de découvrir les super 8 tourné par George Bush senior quand le petit W apprenait ses tables de multiplication pour le concours d'entrée de l'université de Yale.

L'un des sommets de la Bouse en Lettre Capitale : http://www.youtube.com/watch?v=r7TFssY9ZF0

Et pourtant, l'acteur fétiche de moult candidat du Loft 1ère version (une révolution télévisuelle en son temps) a trouvé un rôle qui peut laisser envisager des lendemains meilleurs... surtout pour ses spectateurs !

http://www.youtube.com/watch?v=4z_6UfkQ-c0

A coté de ça, il y a des réalisateurs qui ont de plus en plus de moyens, de confiance de la part des producteurs, et qui témoignent de l'abaissement général du Q.I. du « Singe Nu ». Celui qui a quasiment fait un sans faute : Roland Emmerich.

Bravo ! Constant dans la médiocrité, uniforme dans l'erreur, une asymptote vers moins l'infini qui doit faire rêver tous les mathématiciens en quête d'absolu du plus que nul.

Roro, t'es le meilleur !!!

Mais je cherche encore et toujours la pépite.

La Quête de toute une vie ?

Mon Graal ?

Le point G ? (euh.... je m'égare...)... Garçon, une pinte de bromure !!!

Indiana Jones, à coté... c'est une fiotte !

Source principale :  

http://www.nanarland.com/

Vous pensiez avoir touché le fond de la médiocrité en matière de cinoche avec les 2012 et autres "Independance day" ?

Rassurez-vous, il y a des explorateurs du pire !!!


Toxic Avenger (rien que le titre...) :

http://www.youtube.com/watch?v=27E4Qfj7iEY&feature=related

La compil' de la Mort qui tue !!!
http://www.youtube.com/watch?v=MVW-f4edkk0


C'est pas fini !!!

http://www.youtube.com/watch?v=rLzpRTDtaHU&feature=related

L'un des Maîtres ... Chuck Norris

http://www.youtube.com/watch?v=cZ17nQQ1iYk&feature=related

Le Must : Doc Savage :

http://www.dailymotion.com/video/x2otsf_doc-savage-lhomme-de-bronze_fun

 

 

Ambiance inquiétante, certes...

Préambule nécessaire, amical et instructif, allez faire un tour ici, c'est du tout bon :

http://ledeblocnot.blogspot.com/

Parole de BBP !!!

Ils m'ont donné d'ailleurs une idée d'article, merci les gars, vous me rajeunissez de … pffffouuu... bien plus !!!

…

Amis qui détestaient cordialement le hard rock, le métal et tous ces trucs de furieux, comme je vous comprends...

Rien qu'à voir la tronche de Marie-Line Manson démaquillé, on a envie de revoir le strip-tease d'Alice Sapritch dans « La folie des grandeurs »; et pour peu que l'on soit un tant soit peu compétent dans la langue de Dylan et Springsteen, si on lit ses textes, on relira avec joie et délectation une compil' de Patrick Topaloff pour retrouver un sens à la vie.

Et pourtant, pourtant... ya pas que des grands couillons opportunistes pompes à fric et poseurs sans talent dans le monde ô combien controversé des musiques électriques.

Prenons par exemple le cas de l'Huitre Bleue. C'est bon, les huitres, heing ? Si, si, c'est pleins de bons trucs et c'est aphrodisiaque, en ces temps de crise, il ne nous reste plus que ça comme distraction : le sexe. Surtout après la défaite de l'Equipe de France. Alors à défaut de manger des pommes, c'est passé de mode, « mangez des huitres ! », mais pas n'importe lesquelles.

De préférence, des Huitres Bleues de Long Island.

Vous en sortirez transformés et comprendrez pourquoi dans les années 70, on leur vouait un véritable culte.

Ces zouaves là avaient inventé tout un concept global : le nom, mystérieux « Blue Öyster Cult », le logo ésotérique, les pochettes de disques en noir et blanc, un univers de science-fiction, la collaboration avec de vrais auteurs pour les textes.

Richard Meltzer, Patti Smith, Michael Moocock (cherchez sur Wikipedia, des fois que...)

Avec eux, on est loin du plan « I want to f##k you, baby !!! »...

Et musicalement, ça tenait bien le pavé. Ohhhh oui !

Eric Bloom : Un chanteur avec un voix reconnaissable entre toutes, avec des accents narquois ou inquiétants selon son humeur.

Les frères Bouchard : une rythmique propre, efficace, lourde, mais swingante à l'occasion.

Allen Lanier : un claviériste rusé, toujours là quand il faut, jamais pris en défaut.

Et mon préféré (forcément !) le grattouilleur en chef : Donald « Buck Dharma » Roeser.

La classe, des solos concis ou longs suivant les chansons, mais toujours de bon goût. Capable de faire du gros bruit dans « Take me away », des envolées lyriques dans « Veteran of the psychic wars », du simple et efficace dans « Burning for you », du boogie dans … « Buck's boogie » (étonnant, non ?). Tiens, histoire de vous montrer le talent du monsieur, jetez un oeil sur cette vieille vidéo : « Hear 'n' Aid », projet humanitaire monté par Ronnie James Dio (RIP, Ronnie !).

La vidéo est très kitsch avec tous les caniches en Ray-Ban et spandex... la mode de l'époque... et surtout ces solos de guitares ennuyeux de virtuosité... C'est moi le plus rapide, non, c'est moi ! … C'est pas vrai, c'est moi !!! Tous pareils, le seul qui sorte du lot, c'est le dernier soliste : Buck qui nous colle un truc pas démonstratif, mais 100% efficace direct in yer face, baby !!!

http://www.youtube.com/watch?v=qZktrrqT1A0

Ils furent assimilés à des nazis ou crypto-nazis par des mous du bulbe qui ne lisaient pas un mot de leur chansons et en restaient au visuel noir et blanc ainsi qu'au signe supposé nazebroque.

Il faut reconnaître qu'une chanson était maladroite : « ME 262 » qui parlait du 1er avion à réaction : le Messerschmidt 262.

En fait, le sujet central de l'album « Secret treaties » d'où venait la chanson et l'idée de la pochette n'était pas du tout politiquement correct : au delà de la guerre entre l'Axe et les Alliés, il restaient quand même des échandes commerciaux...

Et en plus, traiter un groupe de nazis avec deux juifs dans la formation, c'est d'une connerie insondable !!!

Classé à tort dans la catégorie fourre-tout « Heavy Metal », BÖC savait se montrer très bluesy por surprendre ses auditeurs. Et surtout, surtout, c'était de vrais bêtes de scènes.

Leurs meilleurs albums, les plus jouissifs sont les lives : « On your feet or on your knees », avec un son... grandiose, d'une puissance, d'une beauté, d'une clarté rarement atteinte pour un live. Le petit suivant « Some enchanted evenings » laisse un peu sur sa faim, normal après une telle réussite.

Et le « Extraterrestrial live » est la face sombre du lumineux « On your feet... ».

Dans les 70's, l'exercice du double live était un peu le passage obligé des hardos. Beaucoup s'y sont frotté, beaucoup y ont laissé des plumes. BÖC gagnait ses lettres de noblesse sur scène et nous a laissé ces somptueux témoignages.

A découvrir ou re-découvrir absolument.