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La musique de Vivaldi à Led Zep, la littérature de Shakespeare à Achille Talon, le cinéma de René Clair à American Pie,

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Beth Hart : Janis est de retour !!!

 

... qui s'envole vers le ciel ! Un ange passe... Si en plus, elle est bonne pianiste, alors !  :o)

... qui s'envole vers le ciel !
... qui s'envole vers le ciel ! 

Pour une fois, je ne vais pas trop en dire, je vous laisse écouter et regarder Beth Hart, une chanteuse avec une voix, une présence, un charisme inouï !!! … Et aussi une bonne pianiste. Tout quoi !

Aussi à l'aise dans les ballades, le blues que les trucs qui arrachent.


(Extrait de la comédie musicale "The Cider" à Broadway)

"…

  • Beth, as-tu du coeur ?

  • Sure, honey, my "Heart is full of soul" !

    ..."

    (et ensuite on enchaine sur : http://www.youtube.com/watch?v=ndcgPie_sqs
    ...aucun rapport, mais j'aime bien cette version avec Roger Chapman au chant et... Rory Gallagher au solo !!!)


Bon, revenons à Beth, écoutez, regardez, et... fondez !!!


Allez, on commence en douceur :


L.A. Song (un peu autobiographique ?)

http://www.youtube.com/watch?v=SrZw8RToN2Y


Leave the light on (vous sentez pas un truc dans la peau ?)

http://www.youtube.com/watch?v=gHWYW6Tw67A&feature=related


Soulshine (une honnête chanson de Gov't Mule transcendée)

http://www.youtube.com/watch?v=IzRF3cDIPQw


Am I the one ? (du blues au milieu de la foule)

http://www.youtube.com/watch?v=J5_G6A28uYs


Monkey back (on monte le son !)

http://www.youtube.com/watch?v=Gjalz_o1Aw4


Whole lotta love (si, si, la chanson de Led Zep !!! Et Plant ressemble à un premier communiant...)

http://www.youtube.com/watch?v=esOkqXGymMA&feature=related


Alors convaincus ?


:o)


 

Watchmen : blockbuster nihiliste !

 

Encore pire que Paris la nuit ! Très motivant pour aller voir le film, non ? Galerie de superbarges...

Encore pire que Paris la nuit !
Encore pire que Paris la nuit ! 
Les pauvres humains que nous sommes aimons bien les dates, les points de repère. Surtout les femmes, ratez un anniversaire et vous déclenchez un conflit que toutes les bonnes résolutions, les vôtres ou celles de l'ONU, ne pourront éteindre.

Les hommes situent leur référentiel dans un autre champs d'intérêt, 1998, par exemple, année magique s'il en est.

Le principe est donc le même, placer des traits sur la dimension temporelle suivant ses préoccupations : le foot ou les sentiments.

Dans cet ordre d'idée, on peut dire que c'est Tim Burton, ancien animateur échevelé de chez Disney qui a mis le feu aux poudres.

Avant Burton, les super-héros étaient propres et beaux sur eux comme un portrait Photoshop : parfaits, rien à jeter, pas le moindre défaut, des statues grecs pour incultes réfractaires aux musée du Louvre et dont l'alimentation principale se compose de pop-corn, soda édulcoré pour se donner bonne conscience et de glace bien grasse et très sucrée.

Le cinéma de ce sous-genre de prime abord inoffensif est aussi authentique que les faux sucres de ces sodas. A la longue, les effets peuvent se révéler... surprenant.

En prenant le plus barge des vengeurs déguisés, Batman, l'ennemi des coiffeurs avait ouvert la brèche des justiciers névrosés. Mais, à cette époque paradoxalement libérale en matière d'humour et hautement contraignante en terme de violence, il fallait y aller doucement.

 

Pourquoi cette remarque ?

 

Parce qu'un type comme Desproges pouvait rire sur tout mais pas forcément avec tout le monde, et au cinéma, on n'avait pas encore droit aux douceurs comme la série des « SAW », on avait des « Freddy » ou des « Vendredi 13 » qui pourraient passer maintenant entre 2-3 mangas à la téloche.

Aujourd'hui, l'humour est hautement placé sur l'échelle de l'Apocalypse, justement à cause des révélations, premier sens du mot, qu'il pourrait nous apporter.

Par contre des films qui ressemblent à des documentaires médicaux sans anesthésie, no souci !

 

 

En tout cas, Burton avait mis le vers subversif dans ce sous-genre niais et bien pensant. Son Batman avait plus de failles qu'une statue atlante perdue dans les abysses.

 

Et depuis, une dizaine d'années, cette malédiction se propage. Seul des médicaments inefficaces comme les « 4 Fantastiques » luttent contre cette invasion de d'ambiguïté des super-héros.

Même la délicieuse Jessica Alba n'arrive pas à réveiller les spectateurs sous l'effet de ces deux somnifères numériques HD. Quel dommage !

 

Zack Snyder débarque. Il se fait d'abord remarquer pour son sens de la mesure et son bon goût avec « 300 », magistrale œuvre hurlante de vérité étudiée dans les soirées arrosées de Champomy-Red Bull  d'étudiants en licence d'histoire, cancres toujours boutonneux à grosses lunettes et petites stouquettes.

C'est beau, c'est bien fait, il y a de l'esthétisme « bullet time » même quand les soldats éternuent.

Mais c'est con. Très con.

Je suis persuadé d'ailleurs que ce « bullet time » vieillira aussi mal que les montages épileptiques des films d'action des années 80. On se donne RdV dans 10 ans, même jour, même place virtuelle, même heure (vite un « Slayer », je me ramollis !)

 

Après le « 300 », supposé roman graphique mono-dimensionnel : « moi vois, moi tue, moi mourir à la fin », le Zack choisit « Watchmen » bien connu des fans de comics, mais point de votre serviteur resté de coté-ci de l'Atlantique.

Marrant, ça... un pied en France-Belgique pour la BD, un genou en Grande-Bretagne et le pied aux USA pour la musique, une main en Italie pour la douceur de vivre, une main en Scandinavie pour la mythologie. Comment s'appelle ce jeu débile où l'on doit faire des figures impossible sur un tapis, au fait ?

...

« Watchmen », inconnu jusqu'à ce que je vois le film, attiré par l'affiche avec Malin Akerman en tenue latex. La chair est faible, surtout pour un mort de faim...

 

Histoire de prendre le plus de liberté avec l'Histoire enseignée par les profs moins boutonneux mais avec leurs toujours grosses lunettes, ce récit est une uchronie hautement dystopique.

Pour les lecteurs de « Voilà » et « France Football »

(mais pourquoi est-il si méchant ??? http://www.youtube.com/watch?v=oLxFqzumFrc ) :

  • une uchronie est une réalité alternative à notre monde à partir d’un moment précis où le cours des évènements a changé
  • une dystopie est le contraire sombre et déprimant de l’utopie où tout va bien se passer, surtout si vous votez pour moi. Bref, ça chie dans la colle puis dans le ventilo.

A capito ?

Grazie !

 

Dans ce monde, cette fripouille de Nixon est toujours président dans les années 80. Et Reagan fait figure de social-démocrate à coté. Joie !

Les héros ne finissent pas toujours bien : sauvagement assassinés pour leurs mœurs marginales (mais ça, on connait), ils deviennent fous, ou font le sale boulot des services secrets, l’état dans l’Etat… Et quand ils acquièrent des super-pouvoirs, c’est au prix de leur humanité.

 

A la base, une histoire solide, bien construite, l’intérêt d’un film de ce genre est à la différence de « 300 » ses multiples niveaux de compréhension.

 

- 1er niveau : film d’action qui pète toutes les dix secondes

- 2ème niveau : un peu de subversion. Très surprenant dans un blockbuster produit par une major hollywoodienne.

« In God, we don’t trust » ou pire « In God, we don’t believe ». Est-ce en réaction aux années « W » avec sa croisade en Irak ?

Intolérance, racisme, corruption, tout ça est montré depuis le caniveau. Ici, point d’exposé stérilisé de bien-pensant en chemise blanche et décoiffé calculé.

-        3ème niveau : références sarcastiques et trash à la culture pop. La fille qui pose une fleur dans le fusil du soldat se fait descendre. Presque toute la musique issue des rêves de paix des hippies illustre la violence d’un monde en décomposition.

Une narration façon « film noir » avec un sociopathe comme conteur.

Clins d’oeils à « 300 », bien sûr, le nombre apparaît souvent.

Mais surtout références à « Apocalypse Now » pour le Vietnam.

Un peu de Dr Folamour aussi, le centre de commandement de Nixon y ressemble beaucoup.

 

Des anti-héros, névrosés, pas nets. Seuls Laurie (le Spectre Soyeux) et Daniel (le Hibou) ne sont pas trop trop frappadingues, et encore…

A coté d’eux, question équilibre mental, Batman et le Joker pourraient être président et premier ministre (mais suis-je loin de la réalité ? …mouarf…)

 

Pour finir un happy-end qui risque fort de ne pas durer.

 

Hollywood serait-il devenu fou ???

 

Tiens, pour finir, la musique du générique de fin.

Le clip d’une chanson de Dylan reprise par des clones des Sex Pistols,  « My Chemical Romance » :

http://www.youtube.com/watch?v=FOuSxal8pf4

No future !!! Tout à fait dans l'esprit du film.

 

Roland Tchakounté - Du blues africain en plein Paris au mois d'aout !!!

 

The "Man" et son batteur ! Alors, lui, il m'a scotché... Le dernier album, à écouter !!!

The "Man" et son batteur !
The "Man" et son batteur ! 

Mardi 3 aout 2010 au (faux) village de Bercy, … en plein Paris.


A l'affiche du jour pour des animations estivales musicales : Roland Tchakounté, bluesman camerounais.

Tiens, le blues retourne à l'Afrique ? Pourquoi pas. Même si on en a perdu la trace, tellement de musiques viennent du Grand Continent laissé pour compte...


La scène est toute petite. En fait, c'est un chapiteau sous lequel se serrent le percussionniste, le gratteux électrique et celui qui doit être Roland Tchakounté, guitariste acoustique, visiblement ennuyé avec la balance des retours.

T'inquiète, nous on t'entend !!!

Mais pas lui, semble-t-il. C'est sûr, c'est gênant...

Devant ce chapiteau censé protéger les zicos de … la pluie ? pas du soleil, on est à Paris, et c'est la fin de l'après-midi, une petite foule curieuse, impatiente comme des parigots face aux portes du métro.

Hé ! Calmos, les gaulois, ya pas l'feu au lac, le Kilimandjaro n'a pas encore totalement fondu, 2012, c'est dans 2 ans, on a le temps de respirer avant l'Apocalypse emmerichienne...

Déli de faciès pour le percussionniste : un p'tit blanc. Va-t-il comprendre les prises de tête des percus afros ? ... Me souviens d'une anecdote de percussionnistes de Lavilliers qui s'arrêtaient de faire les cons quand arrivait une chanson d'inspiration africaine.

Et le gratteux avec sa beeeeeeeelle Gibson LesPaul. Je me demande illico comment lui taxer et partir en 6ème vitesse avec mon butin... Voyou que je suis.


Bon, ils commencent pour de bon, on va voir. J'lui piquerai sa hache plus tard.


Belle voix, profonde et intense qui rappelle John Lee Hooker. Roland le dira plus tard et en baladant sur son site, ce sera clairement affiché, le « Healer » mort lors de la fête de la Musique de 2001 est une influence majeure.

Le gratteux n'a pas qu'une belle gratte, il sait la faire parler, miauler, comme rarement j'ai vu faire. Une main droite sublime d'expression et de précision qui me fait regretter de ne pas avoir emmené un hachoir pour lui chourer en plus de sa magnifique Les Paul sa main droite si agile pour me la faire greffer par un chirurgien véreux... Ca m'apprendra à laisser les outils de travail à la maison.

Et le p'tit blanc aux percus qui assure comme une bête et tout en finesse. Démonstration à l'envers que la musique vient du coeur, des tripes, pas de la peau. C'est valab' dans tous les sens.


Alors, ça donne quoi ? Un chanteur-chaman-sorcier hypnotique avec un groove acoustique efficace, un électricien de première bourre, carrément enchanteur quand il se met à la slide. C'est pas moi avec mes 2-3 plans foireux qui risque de le mettre en danger... Et au fond, cette pulsation qui entraine le tout.


Dommage qu'on ne comprenne pas les paroles. C'est pas de l'angliche, encore moins du français.

Mr Tchakounté chante en « bamiléké », une langue du Cameroun, sa langue maternelle.

Vraiment dommage pour nous, « zoreilles » blanches, ça a l'air pas mal du tout.


Alors, pas besoin d'être un bobo snob parisien complexé (cochez les mentions inutiles ou soulignez les indispensables) pour apprécier le monsieur et sa bande, il suffit juste d'aimer la musique authentique jouée avec son coeur et ses tripes.


Du coup, j'ai acheté son dernier disque. En studio, complètement différent, c'est plus élaboré, avec plus de zycos. La spontanéité reste. Ouf ! Ce n'est pas aseptisé, ça marche encore ! La magie marche encore derrière les « 0 » et « 1 » du Compact-Disc.


Allez voir un peu son site, et faites vous une idée : http://www.roland-tchakounte.com/


Au fait, le gratteux, le gars qui devrait montrer à Mark Knopfler comment se servir d'une Gibson, c'est Mick Ravassat


Et le percussionniste de la Mort qui tue, c'est Mathias Bernheim.


Voilà. Hop !


Enjoy !


 

Et si on recausais d'Inception ?

 

Etre ambitieux, même dans ses rêves... :o) Elle tourne ou elle tombe ???... argh...

Etre ambitieux, même dans ses rêves... :o)
Etre ambitieux, même dans ses rêves... :o) 

Allez, vous l'avez vu ! … Non, pas encore ? Sans blague !


Plutôt que de gâcher l'intrigue, « or to drop spoilers, if you prefer », j'ai plutôt envie de causer avec vous des petits signes cachés de-ci de-là...


La signification des noms :


Tout le monde a repéré Ariane, celle qui a le fil pour aider Thésée à sortir du labyrinthe du Minotaure.

Facile.


Dom Cobb, personnage principal. « Dom » comme « dominus », le maître, le seigneur. J'ai assez de souvenirs de latin et de catéchisme pour m'en sortir...


Arthur, en grand névrosé de la légende arthurienne, je ne peux m'empêcher de penser au Roi Arthur,

dévoué, courageux, un brin nunuche pour les mauvaises langues, mais fiable pour les fans; celui qui est endormi à Avalon mais qui peut se réveiller.


Miles, un architecte qui a un nom d'unité de mesure, étonnant, non ?


En tant qu'ancien joueur d'échecs qui a préféré sombrer dans la folie du rock plutôt que celle du roque (qu'il soit petit ou grand), je vois immédiatement un rapport entre Robert Fischer et le légendaire joueur Bobby Fischer qui a mis fin à l'hégémonie soviétique en matière de jeux d'échecs.

D'autant plus que le totem d'Ariane est une pièce d'échec.

Et si c'était Fischer LE maître du jeu ???


Christopher Nolan est trop tordu pour ne pas y avoir pensé plus tôt aux noms, non ?


Il y avait des sens cachés dans les noms de Matrix.


Neo = One = l'Elu

Trinity … encore un nom biblique

Morpheus = Morphée, les rêves.

Sion = la ville, la Terre Promise des humains.


Alors pourquoi pas dans Inception ?


Et comme je ne l'ai vu que 3 fois (pas assez, c'est sûr, pas assez), il y a des images à la fois poétiques et pleines de sens :


Dom et Mal qui écrasent des châteaux de sable et provoquent en même temps la destruction de falaises en arrière-plan.


La similitude de décors qui renvoient aux rêves des uns des autres.


Pas de coïncidences, … tout est pensé, pesé au plus juste !!!


:o)

 

« Inception » … dormez, je le veux ! ... Mais euuuuuhhhh.... Si, si...

 

Le Maître Le disciple La réussite de la décennie Le vertige...

Le Maître
Le Maître 

Dans les années 70, à l'époque des bonnes vieilles émissions de variétoche pas ridicules mais bien ringardes... ...Pas ridicule ? … Enfin, un peu, mais depuis, on a fait bien mieux dans le pire du meilleur de l'horreur : « La Vilaine Star », « Star ya que des moches »... etc...

Donc, dans les 70's, avec ses soucoupes volantes, ses pantalons pattes d'éph', ses chemises col pelle à tarte, les rouflaquettes des mecs, et les bottes en vinyle des filles, on avait droit dans ces émissions bien nunuches à des magiciens, prestidigitateurs.


Y en a un qui m'a toujours foutu une trouille pire que le catéchisme, le foie de veau aux brocolis et un bisou baveux gastéropodesque de la Tante Berthe.

Ce gars là, Dominique Webb, c'était l'épouvantail des mômes : « Si tu ne va pas te coucher, on regarde le numéro de magie de Dominique Webb ». Sur cette injonction parentale, le garnement le plus rebelle devenait plus docile qu'un gentil toutou.

Regardez un peu la photo du zouave et vous comprendrez. Mais, avant, respirez un grand coup, allez vider votre vessie, et baillonez-vous. Sinon, c'est hurlement à devenir aphone, hoquet frénétique et gros pipi...


C'est certainement pour ça que je suis toujours insomniaque même à 45 piges.


Alors « Inception », Pomme à l'Huile, quand est-ce que t'en cause ?

J'y viens, j'y viens... Je voulais juste partager avec vous fraternellement ces moments d'angoisse qui me poursuivent depuis si longtemps...


Raconter le film est un gâchis. C'est d'autant plus ridicule que mon interprétation ne sera pas la votre.

Pas envie de vous imposer ce que j'en ai compris, d'ailleurs, je changerai surement d'avis lors d'une prochaine vision.


Par contre retenez ceci :

L'histoire est d'une richesse incroyable, car basée sur le rêve, elle reste ouverte sur tellement d'explications que ça en donne le vertige d'une image récursive ou « mise en abime ».


De l'action, certes, ça bouge. « Terminator 176 671» est renvoyé aux tartes à la crème de Chaplin.

De la réflexion, oh que oui ! « Matrix » vous a pris la tête ? Prévoyez le tube d'aspirine et quelques séances chez votre psy pour parler des rêves.

Mélange des genres, itou ! Ce n'est pas que de la SF, tac-tac-boum-boum. Bien plus que ça, je vous laisse découvrir et on en causera dans les com'.

Des effets spéciaux ? Ah, ben « 2012 » est à ranger à coté des films de vacances super 8 de papa


Votre gamin(e) adolescent(e) va adorer et son prof de philo aussi.


Une intelligence d'écriture qui fais penser aux pièces d'un énorme puzzle que l'on assemblerait au petit bonheur, la truffe au ras des morceaux, et une fois le tout terminé; on se relève, on grimpe sur un escabeau (car c'est un #### de grand puzzle !!!) et on se dit... « Wouaouh ! Mais c'était donc ça ? »

Et quand on revient le lendemain, l'image n'est plus la même, on découvre un petit détail qui s'impose et devient alors prépondérant.

Ainsi de suite...


Le genre de film à voir 10 fois, et à découvrir un truc nouveau à chaque projection.


LE PIED !!!


La démonstration élégante et intelligente des effets spéciaux au service d'une histoire extraordinaire, et pas l'inverse comme tant d'autres daubes récentes...

 

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