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La musique de Vivaldi à Led Zep, la littérature de Shakespeare à Achille Talon, le cinéma de René Clair à American Pie,

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Encyclopédie du savoir inutile et dispensable.

Entretien, monde d'emploi...

 

 



Florilège de questions stupides posées par des recruteurs à des candidats pour les dé-stabiliser.

En exclusivité, voici mes réponses !!!



Sur une échelle de 1 à 10, où vous situez-vous en terme de bizarrerie?

Oh... 9, car je ne suis pas parfait



Quelle est la philosophie des arts martiaux ?

 Eclater la gueule du gars d'en face avec style et en poussant des petits cris ridicules...



Supposez que vous êtes un crayon. Nous nous vous déposons dans un mixeur. Comment vous échappez-vous ?

 Avec ma mine diamant, je découpe le verre, et je m'échappe



Dites-moi ce qui s'est passé ces 10 dernières années dans le pays?

 Tellement de choses insignifiantes que je m'en voudrais de vous les mentionner de peur de vous plonger dans un ennui proche du coma.



De combien de cannelures dispose une pièce de 50 cents ?

Juste assez pour les identifier.



Combien de ballons de basket peuvent tenir dans cette pièce ?

 Ballons de basket junior ou ballons de basket senior ? (Note : inspiré de la Colombe Monty Python)



Nous cherchons un nombre entre 1 et 1000. De combien de coups au minimum aurons-nous besoin pour trouver ce nombre précis quand à chacun de ceux-ci vous disposez de l’information : « plus grand » ou « plus petit ».

A quoi bon... je n'ai jamais de chance à ce genre de jeux...



Qu'ont le bois et l'alcool en commun ?

L'un a la gueule de bois, l'autre la donne.



Il y a 25 chevaux. 5 chevaux peuvent courir dans chaque course. Combien de courses seraient nécessaires pour épuiser les 3 chevaux les plus rapides ?

 Je ne joue pas aux courses, je suis farouchement opposé à l'exploitation mercantile des animaux pour l'amusement coupable de bourgeois troueurs de la couche d'ozone avec leur cigare transgénique et de leur épouses ridiculement chapeautées.



Pourquoi pensez-vous que seule une petite proportion de la population gagne 150 000 dollars par an ?

Le trafic de drogue reste encore une activité trèèèèès rentable



Vous disposez de 8 pièces de monnaie. Sept d’entre elles sont identiques, et une non. Nous vous donnons une balance. Comment trouverez-vous la pièce différente en maximum 3 essais ?

Aucune importance, j'empoche les pièces de monnaie



Que faites-vous si vous héritez de la pizzeria de votre oncle ?

 Je mangerai mon bénéfice



Si vous étiez un super héros, lequel choisiriez-vous ?

 Kick Ass, il résume à merveille mon parcours professionnel.



Une pomme coûte 20 cents. Une orange 40 cents et un pamplemousse 60 cents. Combien coûte une poire?

A peu près autant qu'une pomme et pas loin d'une orange ou d'un pamplemousse.



5.623 personnes participent à un tournoi. Combien de matchs doivent être joués pour trouver le gagnant?

De toutes façons, on sera endormi avant...



Un gâteau d'anniversaire se compose de trois parties. Comment faire pour diviser ce dernier en 8 parties égales?

3 parts, ça m'va ! ("on t'a dit 3 parts, Obelix !!!")



Comment sont fabriqués les M&M’s ?

Comme les homards : les cacahouètes sont trempées vivantes dans un bain de chocolat, ce qui tue les plus faibles. ensuite, elle passent par un bain glacial de sucre (d'où le terme "sucre glace"), et ça achève les moribondes.

Indéniablement cruel. Que fait Brigitte Bardot ???



Comment pesez-vous un éléphant si vous n’avez pas de balance?

Facile, à peu près mon poids. JE suis un éléphant.



Vous vous trouvez dans un dressing. Il fait noir. Il n’y a pas de lumière. Vous voulez porter deux chaussettes identiques pour votre entretien d’embauche. Vous disposez de 19 paires de chaussettes grises et de 25 paires de chaussettes noires. Quelles sont vos chances de trouver une paire de même couleur?

Je ne mets que des chaussettes blanches, en hommage à Michael Jackson



Vous avez 20 personnes dans votre service. Comment les organisez-vous pour savoir combien de vélos ont été vendus l’an dernier, dans votre région ?

Il y a erreur, je vend des caramels mous.

 

Au delà : et au dessus des besogneux...

 

Au delà (de la mêlée)
Au delà (de la mêlée) 

Clint est humain ! Ouf ! Je commençais presque à croire le contraire.

Le roi Midas du ciné indèp' américain a fait un petit faux-pas. Eastwood, le colosse blanc aux yeux clairs qui transforme à peu près n'importe quelle bouse de scénario en, au pire chouette film, au mieux surnaturelle réussite.

Il a gentiment trébuché, le cow-boy, avec son petit dernier : « Au delà » !

Ah ah ah ?

Pas vraiment planté. J'ai dit « trébuché », bande de charognards !

Alors histoire de contenter les plus rapaces, causons de ce qui ne fonctionne pas fort.

Pour sa première incursion dans le fantastique, Mr Eastwood, pas vraiment à l'aise dans ce genre, a essayé ses recettes maison qu'il nous sert avec brio depuis « Breezy » (1973) : du sentiment, mais point gnan-gnan !

Histoire de se compliquer la tâche, il a fallu qu'il se farcisse 3 histoires parallèles.... Oumpfff !!! Pas facile à gérer, ce genre de truc.

On alterne entre temps morts et temps forts. Le rythme est cassé à chaque changement de personnages. On comprend vite où veut en venir Papy Eastwood : réunir les 3 histoires en 1. Voui, mais comment ? Ca en devient énervant pendant la plus grande partie du film, et quand ça se produit... on est un peu déçu des ficelles, que dis-je!, des cordages de paquebot pour y arriver.

Alors, ce film est raté ? (rire des hyènes)

Relisez plus haut, bande d'Alzheimer ! J'ai dit que le Maître avait trébuché. Hé, ho, faut suivre, hein !


Pour un gars qui n'a pas l'habitude des effets spéciaux, il fait fort, le bougre. La scène du tsunami, filmée sobrement, est saisissante. La caméra se concentre sur quelques points de vue, à l'opposé d'un Roland Emmerich qui aurait pris son pied à engloutir la Thaïlande, le Cambodge, le Vietnam et les Philippines avant de faire sombrer le Japon : glou-glou !

Sobre, on vous dit, sobre. Réaliste. Efficace. On tremble quand les flots rattrapent les passants. On frémit quand on voit la journaliste couler. On sursaute quand un camion hydro-propulsé la percute.

Elle est perdue. On est sous le choc !

Du pur Eastwood qui s'essaie au grand spectacle. Et il réussit comme à son habitude, avec de l'émotion. Mais sans tomber dans les torrents de larme à la sauce Hollywood.


Donc, un bon point.


Avec l'histoire du médium surdoué, il retrouve ses marques. Normal, un personnage eastwoodien en bloc : un passé lourd, un secret pesant, un homme sensible. Matt Damon montre une fois de plus sa virtuosité schizophrénique à alterner les rôles 100% testostérone et les personnages tout en nuance.

Un médium génial, mais tellement génial qu'il n'en vit plus tellement il est impliqué dans les contacts avec les morts. « Vivre autour de la mort, ce n'est pas une vie ». Tu l'as dit, Riri !


Un point de plus.


Filmer les enfants est l'exercice casse-gueule garanti. Devenir acteur prend du temps, on n'est pas acteur quand on est môme, on le devient. Pas convaincu ? Regarder les « Harry Potter »... oups !

Ici, c'est tout l'inverse. Les deux jumeaux sonnent et jouent justes. Bravo Papy !


Encore un point. Ca en fait, hein ?


Des scènes purement eastwoodiennes. On en a !


Le marivaudage des cours de cuisine entre deux anges aux ailes brisées qui viennent se soigner en cuisinant italien.

La défilé désolant des charlatans psychiques conclue par une séance authentique et démystifiée.


En résumé : beaucoup de pépites dans ce film. Pas de lingots, mais des pépites. Pas si mal, finalement.


Moralité : un film un peu raté de Clint Eastwood vaut largement les blockbusters aseptisés de toute une année !!!

 

RIP Gary Moore : Un peu de démesure dans un monde trop aseptisé...

 

Plus expressif que Droopy, c'est sûr !
Plus expressif que Droopy, c'est sûr ! 

Va-t-on reprocher à Lucchini d’en faire trop ? Peine perdue… Si vous voulez le rendre calme, la note en Valium va être salée, et on n’est même pas sûr que cela marche ! Donc investissement à perte.
Ou alors, ça donne à peu près le même résultat que Bill Murray maintenant : un acteur émasculé, lobotomisé, sans saveur ou à peine moins qu’un substitut de repas hypocalorique hyper-protéiné.

 

 

Et dans la catégorie « guitar-hero », c’est la même chose. Par exemple, demander à Santana d’être mesuré et sobre dans son jeu, sobre dans son attitude est aussi illusoire que de réclamer à Keith Richards d’être sobre tout court !

 

 

La version irlandoche de Santana, c’est Gary Moore. Même amour des notes longues, mais alors longues… qui vrillent les tympans des pauvres auditeurs ignorants de la beauté formelle du larsen. Même jeu scénique à base de grimaces expressives allant de l’extase rythmique à l’orgasme mélodique.
Enlevez tout ceci et en plus le gros son killer, et il ne reste pas grand-chose. Est-ce pour autant la preuve que sans distorsion et volume digne d’un jet au décollage, le Gary ne vaut rien ?

A ce compte là, on dégage Lucchini et on le remplace par Jean-Pierre Léaud ou Alain Cuny, deux acteurs au charisme d’une huitre OGM laissée trop longtemps au soleil du Sahara (et ne me demandez pas ce qu’une huitre vient faire au Sahara !)
Et pourquoi lui enlever la disto ? A-t-on reproché à Hendrix d’être un guitariste essentiellement électrique ? (« Hear my train a comin’ » à la 12 cordes est l’exception). Enlevez le rack d’effets de The Edge, et celui de Frank Zappa aussi, et mettez Eric Johnson au ukulele.

 

Gary Moore a un son reconnaissable entre tous. Comme Santana d’ailleurs. 3 notes suffisent à le reconnaitre. Et ça, c’est pas donné à tout le monde.
A une époque où la guitare rock n’avait pas incorporé le terme « shredder », il faisait figure comme Eddie Van Halen de Bip-Bip poursuivi par des hordes de Coyotes, apprentis guitaristes comme votre serviteur, à l’affut du moindre plan décapant, le truc ultime qui faisait d’un solo laborieux un intermède killer entre les couplets insipides d’un chanteur incognito.
La découverte de « Corridors of power » et des opus suivants furent autant de claques aux ados des 80’s.
Les morceaux n’étaient pas toujours top-top. Il y avait toutefois quelques bons riffs saignants, c’était du hard-rock, un souffle barbare, pas de l’amerloque, mais de l’irlandoche (merci Claude !).

La voix pouvait paraitre faiblarde par rapport aux Gillan, Dickinson, Halford, mais dès que le Balafré envoyait le solo vers les étoiles, il n’y avait plus grand monde pour suivre, les gratteux rangeaient leurs 2cv sur le bas-coté de la route et regardaient le ciel.
De la technique, certes. Mais pas que. Des tripes, de l’énergie issue de ses doigts, car tous les furieux de l’époque usaient et abusaient déjà de la distorsion. Gary était au-dessus du lot des souffreteux et taillait dans le gras du bide des besogneux à coté d’autres fines gâchettes comme  Van Halen, Ted Nugent, Uli Jon Roth, Michael Schenker, Angus Young, etc… des gars avec une technique pas toujours nickel  (comme Angus) mais tous partageaient cette urgence dans le phrasé.

Et la technique en musique, qu’est-ce donc si ce n’est de la gymnastique ??? Faut arrêter de juger seulement par cette capacité à aligner le plus de notes dans le 10ème de seconde. Trop de notes, mon cher Mozart, trop de notes…

 

 

Ecoutez un peu les solos de ses ballades. Ces parties instrumentales salvatrices sont la rédemption (pléonasme, mais ici, point de mesure je vous le rappelle !) inespérée d’une chanson-mélasse magnifiée par une intervention miraculeuse d’un voyou au grand cœur pourfendeur du rock minimaliste et approximatif.

 

 

Oui, Gary joue fort, aussi fort que le Concorde au décollage. Le rock ne se joue pas avec des sourdines, désolé… Passez votre chemin, et dansez le menuet, la gavotte ou la chaconne.
Oui, Gary en fait trop. Mais « trop », n’est-ce pas plus réjouissant que « pas assez » ? Pour votre prochaine soirée, prévoyez pas assez de bières et de pizzas, vous verrez l’effet garanti tristounet sur la face médusée de vos invités.
Oui, Gary est sincère. On l’a accusé de plagier Santana. Ils avaient juste en commun l’admiration de Peter Green. Ecoutez l’album « Blues for Greeny » pour vous en persuader.

Et si Peter Green lui a donné en main propre sa Gibson Les Paul juste avant d’arrêter le Fleetwood Mac 1ère période, ce n’est pas pour rien, le gamin Gary devait avoir du talent, non ?

On lui a reproché son virage blues en 1989. Rappelez-moi un peu… Le blues était-il si à la mode en 89 (sur TF1 et M6...)? … Pas que je sache. En a-t-il vraiment tiré profit ? Enrichi à millions, pas sûr, pas sûr… Il a eu 2 disques d'or, mais avec pleins de reprises, donc droits d'auteurs à reverser.

Et les authentiques bluesmen qui sont venus en invités, sont-ils attirés par le gain ? Vous croyez que les 2 Albert (Collins et King) ou les 2 King (Albert et B.B.) sont complaisants comme toutes ces (soi-disant) vedettes venant chanter (en play-back) à la Star Ya que des Moches ???

Quant à moi, et je ne suis pas le seul, ça fait plus de 20 ans que j’essaie de sonner de loin comme lui. Comment je vais faire maintenant ?


« He’s out in the fields, the rooms are empty, and the boys won’t be back in town. And I’m afraid I got the blues for the rest of my guitar player’s life »…

 

Adieu, mon gari... (*)

 

Le son, le feeling, l'énergie, ... et le reste ! The sky is cryin'... Gary's gone... R.I.P., Master...

Le son, le feeling, l'énergie, ... et le reste !
Le son, le feeling, l'énergie, ... et le reste ! 
(*) les lecteurs un peu provençaux et beaucoup marseillais comprendront.
Pour vous autres, amis, curieux, habitués, Gary Moore est mort, et je vais avoir le blues pour un sale moment...
Still got the blues for you, Master !

 

Rendez-vous au bac à sable : Ultima nanard !!!

 

Rien que l'affiche fait peur... Là, j'ai très très peur !!!

Rien que l'affiche fait peur...
Rien que l'affiche fait peur... 

Ou « Le méta-nanard, la perle rare ! »

 

On peut comprendre ceci comme l’aboutissement d’une vie d’un dur labeur cinéphilique masochiste consacré à la recherche de la médiocrité élevée au rang d’art, à savoir : le nanard !

Ici, s’arrête donc ma quête de l’à-peu-près narratif et des abysses cinématographique. Un exercice de style courant au cinéma, la mise en abime, consiste à faire une autoréférence dans le film. Exemple : « La nuit américaine » de Truffaut raconte le tournage d’un film.

Le nanard aurait pu utiliser ce terme de mise en abime pour qualifier le voyage sans retour (et sans Marylin) vers les profondeurs inexplorées de la médiocrité.

Employons donc le terme de « mise en abysses », qui évoque la mer des Sargasses et nous produit  en conjuguant les deux une allitération de bon aloi, je mets 2 euros dans le nourrin. Garçon, un thé et l’addition, siouplé !

 

Mais de quoi parle-t-il donc, misère de mirmidon ???

 

Du seul et unique film majeur, comprenez: "où s'est investi" Richard Gotainer : « Rendez-vous au tas de sable ». ... On comprend l'unicité de l'acte en le visionnant...

 

 

 Un dépanneur improbable se retrouve manager d’un duo de musiciens approximatifs. Il en fait un groupe de rock asthmatique et les lance dans les eaux troubles du show-biz.

 

 

 Ca tient sur un ticket de métro rongé par un pitbull. C’est mal joué, ya même pas d’acteurs ! Vincent Ferniot, ancien chroniqueur gastronomique à Télé-Matin, c’est un comédien ? Non, et ça se voit dans le film. Gotainer itou ! Et plein d’autres, aussi…

 

 

On frôle le cauchemar ? non, non, en fait c’est le mur du son … euh… du con ! On franchit le mur du con, et après, c’est tellement con que c’en est bon !

 

Pour vous donner une idée, ce petit extrait d’intensité dramatique paroxystique proche de l’insoutenable :

http://www.youtube.com/watch?v=TiatkM-PSGs

 

Alors, précision pleine de cuistrerie : le métalleux bovin, c'est Jango Edwards, mais la voix qu'on entend, c'est celle de Bernie Bonvoisin, à 1000 années-lumière de Trust, je parie ma selle et mes bottes qu'il a du se marrer comme un cachalot.

Ca tombe bien, nous aussi !

 

Le diagnostic sera simple, si vous avez survécu à ces 8 minutes, vous êtes bon comme la romaine, bon pour le service, décérébré à souhait, votre encéphalogramme est plat comme une crêpe passée sous un rouleau-compresseur.

Vous êtes fichus, il faut débrancher la prise ou passer aux drogues dures comme le Beowulf avec Christophe Lambert.

 

 

 « Rendez-vous au tas de sable » n’est pas un navet, c’est un nanard. Big difference ! Le film n’est pas raté, il s’est auto-sabordé de lui-même personnellement dès le 1er tour de manivelle.

 

Des couleurs kitsch dignes des Technicolor de la grande époque, ça pète, ça flashe comme les costumes de mon pauvre cousin Raymond, daltonien avec des gouts de chiotte.

 

Une absence de jeu, une épure immédiate de la comédie que Jean-Pierre Léaud a mis 20 ans à parfaire.

Des dialogues à l’image des chansons de Gotainer, bourrés de jeu de mots (laids), complètement à coté de la plaque (d’immatriculation), mais tellement booooooooons !!!!!!!!!!!!

 

 

A consommer complètement bourré pour vraiment apprécier !!!

 

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