blogs.fr: Blog multimédia 100% facile et gratuit

Encyclopédie du savoir inutile et dispensable.

Blog multimédia 100% facile et gratuit

 

BLOGS

La musique de Vivaldi à Led Zep, la littérature de Shakespeare à Achille Talon, le cinéma de René Clair à American Pie,

La musique de Vivaldi à Led Zep, la littérature de Shakespeare à Achille Talon, le cinéma de René Clair à American Pie, etc...

Blog dans la catégorie :
Divertissement

 

Statistiques

 




Signaler un contenu illicite

 

Encyclopédie du savoir inutile et dispensable.

(Olida, Dalida,) Holiday (in the sun !) ... comprenne qui pourra, moi-même, j'y arrive pas !

 

Je vire le gros, et... I am ze king of ze world !!!
Je vire le gros, et... I am ze king of ze world !!! 

 

Cameron Diaz frigide ? Kate Winslet laissée pour compte ??? Euh... c'est un univers parallèle ??? Avec de l'antimatière à 13 à la douzaine ?

 

Mais pourquoi est-ce donc que je loue des trucs pareils au vidéo-club ?

 

  • Un film de repassage ? Mouais, bon, foutaise.

  • La curiosité de voir Jack Black faire autre chose que le crétin nucléaire ? Re-foutaise.

  • Une oeuvre de Nancy Meyers ? La réalisatrice qui m'avait bien plu dans « Ce que pensent les femmes » et « Tout peut arriver » ? Sans blague !

 

Avoue, mon Big Bad, tu te ramollis, tu ne mets pas assez souvent la disto à 11, tu chantes « Purple Rain » façon crooner et tu balances le solo avec moult effets héroïques. Dans pas longtemps, tu vas faire le casting du « Facteur XXL » (rapport à ta taille, et pas celle des Durex, zut !) où tu iras massacrer allègrement (dans le gras du mammouth) du Jason Mraz 3 octaves trop bas.

 

Allez, ressaisis-toi, une petite cure de black-death-fuck-metal, vide une boutanche de Jack, branche la Gibson dans l'ampli, met la chaine à fond à fond à fond avec du Led Zep, éclate-toi les cordes (vocales) à choper les notes de Robert (pas l'autre connard) Plant qui hurle plus haut que l'Everest quand il a été ré-étalonné par ce crétin de Rolan Emmerich dans « 2012, l'odyssée des benêts ».

 

Tu t'fais vieux, mon lapin, tu as la trouille en regardant les films d'horreur qui ont bercé ta jeunesse avec du fil de fer barbelé dans le bas du dos (oh cré-putain que ça fait mal). « Oh, oh, oh, take my hand », et même si on ne se rend pas au « Promised land » que chante ce cher Boss dans « Thunder Road », allons massacrer quelques casquettes à l'envers dans le métro en cette heure avancée de la nuit où les loups-garous flanquent des roustes mémorables aux vampires à tête de fiottes et cheveux savamment décoiffées au gel 100% OGM. Le temps de chausser quelques bagues, juste une dizaine, à mes doigts de fée Carabosse, d'enfiler mes 'tiags affutées au cyanure de potassium, et je suis à vous.

 

Sous cette carapace de faux-dur comparable à un faux-derche de pré-campagne présidentielle, j'avoue, j'en ai bavé d'envie, mon amour, à la vision de ces sublimes apparitions idéalement féminines, l'une américaine jusqu'au bout du sourire hypnotique, et l'autre de ses, à peine plus gros, seins britanniques.

 

C'est convenu, c'est sirupeux, c'est long comme un jour de régime hypo-calorique. Il y a quand même deux mérites :

 

Eli Wallach n'est plus le salopard cosmique de Tuco, le Truand qui accompagnait le supposé Bon et la Brute. C'est un p'tit vieux charmant comme tout qui disserte admirablement du Hollywood d'avaaaaaaaaant qui était forcément mieux.

 

Jack Black arrive à ne pas grimacer. Enfin, pas trop. A peine. Si, si.

 

A louer en DVD, pas forcément à acheter, même à 10 euros, à moins de plaire VRAIMENT à votre copine et passer pour le mec sensible qui regarde autre chose que la série burlesque des « Saw » (mention spéciale au « Saw 6 » et un blame pour avoir escamoté le « Saw 7 » en « Saw 3D », non mais !!!)

 

 

Un nouveau Yes ? YES !!!

 

Encore une sublime pochette de Roger Dean... YES !!!  :o)
Encore une sublime pochette de Roger Dean... YES !!! :o) 
 

Un nouveau Yes, Chouette ! Euh... J'en vois qui rigolent dans le fond de la classe. Et pas les plus jeunes, ni les plus attentifs, encore moins les plus doués, juste une engeance vieillissante : les punks ! Des survivants qui ne tiennent même pas debout à force de consommer de la mauvaise bière.

D'autres vieux hibous, pas trop déplumés, respectent ce genre de 'zique : les métalleux, ceux qui patiemment tricotent une note à l'envers, une note à l'endroit.

Merci pour ces vieux babas de Yes. Depuis plus de 40 piges, Jon Anderson et ses acolytes distillent du soleil, des ondes positives trèèèèès sophistiquées que le commun des rockers a du mal à appréhender. Ah, c'est sûr, ya un peu plus de 3 accords dans des chansons qui dépassent toujours les 3 minutes de formatage radiophonique de cervelle.

 

-         Jon Anderson, m'sieur ?

-         (… encore un silence pesant d'ignorance...) Ah, quelle classe de cancres !!!

-         euh, non, il n'est pas sur l'album...

-         C'est ça, oui, et Rick Wakeman est parti à la pêche aux moules ?

-         Ben... il n'est pas là non plus.

-         (… silence apoplectique du prof...) Damned ! Tout fout l'camps !

 

En effet, Rick Wakeman, le virtuose au physique de bucheron est encore reparti après être revenu une n-ième fois. On a l'habitude, il fait ça depuis 76 ! Il est remplacé par un intérimaire connu du « Yes World » en la personne de Geoff Downes. Ouf, ça pouvait être pire : Charlie Oleg, par exemple. Et comme l'album est produit par Trevor Horn, son pote de « Buggles », groupe de pop-prog, ils nous la font «Drama » le retour ou quoi ? « Drama » (sorti en 1980), ce n'est pas l'album préféré des fans... Aïe...

Et le p'tit gars qui remplace le Grand Magicien Anderson, c'est un jeunôt du nom de Benoit David, il vient d'un « tribute band » de Yes : « Mistery », donc il connait bien cet univers si particulier. Et reconnaissons que la transition est parfaite.

Les autres : Chris Squire, Steve Howe, Alan White sont des vétérans quasi inamovibles.

 

-         L'album commence avec une ouverture délicatement pianistique, histoire de montrer que Mister Downes n'est pas une truffe aux claviers. On retrouve les breaks, les mesures tordues du Grand Yes. Merci, les gars, ça rassure.

-         Ensuite, le morceau à rallonge, « Fly from here » est bien dans la tradition de Yes, c'est varié, coloré, ça change tout le temps, une peinture musicale vivante comme eux seuls savent faire maintenant, depuis que Peter Gabriel a quitté Genesis et laissé les commandes à un batteur-crooner... grrr... Ce qui est étonnant, c'est que ce morceau sonne très « Yes », et pourtant, c'est quasiment du pur « Downes-Horn », Dingue, non ?

-         Baisse de régime avec « The man you always wanted to be ». Bof... moyen, gentillet, après la claque multi-dimensionnelle des 7 mouvements de « Fly from here »

-         « Life on a film set », est encore plus laborieux, ça décolle vers le milieu, un peu tard, les gars, mais la deuxième partie rattrape la sauce. Qui sait ? C'était peut-être voulu.

-         « Hour of need » est une jolie ritournelle acoustique, simple, mais fraiche comme un ruisseau en pleine canicule.

-         « Solitaire » porte bien son nom, vu que ce petit canaillou de Steve Howe nous la fait comme « Mood for a day » sur le « Fragile » de légende... Un magnifique morceau de guitare acoustique, classisant, de toute beauté virtuose, mais attention, pas du ma-tu-vu, du vrai, du sensible. Merci Steve !

-         « Into the storm » termine l'album avec enfin de l'énergie toute renouvelable, rien de toxique, du bio, du naturel, du vrai. Oeuvre de composition collégiale, un rock assez carré, efficace, on s'est asse pris la tête, hein !

 

Alors, la conclusion ? Pas forcément un grand album, mais une galette plus qu'honnête, une transition de plus dans le line-up à géométrie variable. On va dire un « album rassurant ». Et c'est très bien. A bientôt, les gars.

A lire ôssi ici : http://ultrarock.free.fr/

 

Case départ : t'as pas 20 000 euros en passant, mais tu prends cher !!!...

 

Les visiteurs à l'envers ! Pas la même case... Dommage !

Les visiteurs à l'envers !
Les visiteurs à l'envers ! 

Ce film n'est pas pour les farouches ennemis de la repentance. D'ailleurs, c'est quoi t'est-ce donc ? Prendre sur ses épaules la responsabilité des erreurs des siècles passés ? … Bof, pas vraiment... C'est reconnaître, en tant qu'état français (ou autre), que l'esclavage n'a franchement pas apporté du bien mais surtout beaucoup de peine. C'est si difficile ?



Les éternels refoulés professionnels qui brandissent à tout va leur différence ethnique pour tenter de justifier leur paresse, échecs, aigreur maladive, vont eux aussi souffrir comme leur camarade de la première catégorie sus-nommé.



Tout comme les champions de l'intégration (qui a dit « désintégration » ?) pour qui la réussite passe par l'uniformisation du langage, des coutumes et de la culture.

Désolé, j'ai pas envie de parler comme un présentateur tévé, de porter des costumes bien ajustés, de bouffer du steak-frites en regardant le dernier concert de Sardou sur TF1.

Pas plus que de causer comme une caricature de Joey Starr, de mettre des survèt' 4 fois trop grands (ça va pô êt' facile de trouver la taille...) et de mettre du hip-hop à donf' dans ma Benz-Benz-Benz que je viens de chourer au salopard de blanc qui m'a regardé de travers la semaine dernière.



Les nostalgiques de Pierre Desproges vont adorer, car il est question de connerie humaine.

Valeur bien universelle, partagée par l'essentiel de l'humanité.

Laurent Gbagbo est un escroc, comme les maires de certaines communes du Sud de la France qui font voter des morts ; ou encore une secrétaire nordiste du P.S. qui bourre les urnes ; ou un président américain qui se fait aider par son frère gouverneur, etc... La liste est longue, et haute en couleurs, dans tous les sens du terme.

On y parle aussi de grandeur de l'âme humaine. Un petit garçon blanc du 18ème siècle a l'intuition et la conscience des Lumières de cette époque.


Bref, pendant un peu plus de 90 mn, on se marre, on apprend, on réfléchit.

 

"Hop" : un film sautillant !!!

 

Quand j'vous dis que les batteurs sont des lapins... Ils peuvent être gratteux à l'occaz' ! Faites comme Roger, faites les rire !!! LE Gentil Lapinou par excellence !!! Antithèses des lapins précédents... Quelle Honte !!!

Quand j'vous dis que les batteurs sont des lapins...
Quand j'vous dis que les batteurs sont des lapins... 

Faut que j'vous dise... J'adore les lapins. Dans la vraie vie, je trouve ça mignon comme tout, et je me refuse de les manger, donc pas de considérations alimentaires dans mon addiction lapinesque, non, non, c'est mignon, tout doux, c'est tout.

Dans l'imaginaire des gamins, le lapin en peluche, c'est craquant, les longues oreilles, les papattes toutes douces.

Et en dessins animés, ya pléthore de léporidés. Un p'tit rappel avant de causer du vif du sujet.

  • Bugs Bunny, l'insupportable, le casse-pied, le cauchemar de Daffy Duck, Elmer Fudd et tous les fâcheux qui le croisent ou envisagent de le finir en ragout.

  • Panpan, le gentil lapinou, l'ami de Bambi, celui qui l'aide à grandir. Et aussi la figure spirituelle des batteurs. Car les batteurs sont des lapins. Si, si. J'ai déjà prouvé cette assertion désormais incontestable dans ma thèse sur « La similitude du pied droit du batteur de rock avec la papatte du lapinou » à l'université de La Garenne de Saint Igny de Vers sous la direction du professeur Hervé-Gaston Lelièvre, arrière-petit-fils du célèbre journaliste Henri-Gustave Lelièvre.

  • Roger Rabbit est un cousin de Bugs en un peu plus couillon, mais on lui pardonne, sa femme est tellement canon ! (...soupir...)

  • En jeu vidéo, les Lapins Crétins font passer ce cher Roger pour un énarque. Et pourtant les énarques sont les édiles les moins habiles même s'ils sont plutôt volubiles.

D'ailleurs, dans le monde politique, il semblerait que les lapins tiennent le haut de l'affiche, mais pas pour le coté le plus sympathique de leur image, c'est dommage.


Heureusement qu'il y a Robbie le Lapin de Pâques de « Hop » pour redorer l'image des lapins mis à mal par l'actualité politique de ces derniers mois.


Une gentille histoire de fistons qui veulent s'amuser, rêver, et pas forcément faire expert-comptable comme leur père. On notera la synergie entre le lapinou rebelle rock et l'humain échevelé aux côtes en long. Des feignasses ? Bah, non (Tristane, t'as raison, continue). Juste des gamins ou éternels gamins déconnectés de la réalité.

Donc, parents, n'amenez pas vos ados attardés qui prendront le lapereau comme modèle et justifieront leur 3ème Terminale Choucroute avec le renfort sautillant de la bestiole. Zut ! On a assez de difficultés à leur faire comprendre qu'il faudrait se lever avant 14h...

Mieux vaut cibler les petits-moyens.

Eux, ils vont se marrer, fa f'est fûr (laissez moi le temps d'avaler mes friandises au chocolat).

… Goulp... !

Et nous ? On apprécie le jeune batteur aux longues oreilles, la version rock et juvénile de Bugs Bunny : un lapin farceur au grand coeur.

Le poussin comploteur autant que grassouillet est hilarant de stupide méchanceté.

Fred Marsden, débarassé de ses lunettes rouges de X-Men, est complètement dépassé par les catastrophes de la peluche vivante.

Les Bérets Roses, commando d'élite lapinienne, sont craquantes comme des Bunnies d'Hugh Heffner, et garanties tout public.


On a des clins d'oeil, des allusions, des sourires. Aucun espoir d'avoir une ligne dans les « Cahiers du cinéma », mais si vous ne savez pas quoi voir avec vos petits cet été, allez-y, ils vont s'éclater, et vous aurez de bonnes scènes de poilade.


 

LOTR en Blu-Ray : Encore un coup de Sauron !!!

 

Frodon a de bonnes raisons d'être inquiet...
Frodon a de bonnes raisons d'être inquiet... 

C'est une discussion favorite des fans sur tous pleins de forums:
- Peter Jackson devient aussi vénal que George Lucas, Bill Gates du temps de sa splendeur microsoftesque et Steve Jobs réunis. Il a d'abord sorti les versions "courtes" pour vendre aux accros hardcore, et ensuite, il va nous faire la version longue.
- Peter Jackson est un gros naze, car il a encore mis chaque film en version longue sur deux Blu-Ray au lieu d'un seul.

...

Les avis sur les sites de ventes en lignes vantent la qualité de l'image et gna-gna-gna...

Etonnant, je suis passé dans deux grands mazaguins spécialisés dans ce genre de bêtises :
1. le Virgin Megastore des Tchemp' Elaïzize, prononciation à l'américaine, faut s'y habituer, c'est la saison.
2. la FNAC des Halles, ne pas confondre avec Halle Berry, malheureusement, y en a qu'une, et je ne la connais pas, zut, flûte et feuque !

Et dans ces deux temples de la consommation culturelle de masse, le film passait en démo sur des téloches haut de gamme qui renvoient ta putain de télé que tu as du payer en cassant ton PEL qu'avaient monté patiemment ton Pôpa et ta Môman au niveau de la lucarne du Papet qui regardait le Général de Gaulle en couleurs d'origine, c'est à dire des nuances de gris plus ou moins clairs avec du blanc pas lavé avec Ariel et du noir qui n'est pas passé dans les enzymes experts de Woolite Black.
Bref, pas des TV de smicards mais de traders sévèrement garnis en brouzzoufs (pléonasme).

Alors, le résultat ?
... Ben, le mieux devient l'ennemi du bien...

Une définition de folie, des contrastes à réclamer des électrochocs, une luminosité à se faire trépaner. Un rendu indiciblement lovecraftien qui montre finalement la Réalité dans son Horreur Ultime.

La lumière trop crue fait immanquablement penser aux sublimes séries tournées au kilomètre, par exemple, "Les feux de l'amour" et son rendu vraiment pas naturel question éclairage. ... Et le reste aussi, mais c'est hors sujet, je ne parle que de la lumière.
Donc l'éclairage n'est vraiment, mais alors vraiment pas naturel, on se croirait dans un bloc opératoire avant que le docteur Frankenstein débarque pour coller des énormes lolos à une jolie fille qui ferait mieux de garder ses petits seins mignons comme tout au lieu de vouloir ressembler à la n-ième pétasse siliconée des films d'auteurs du dimanche soir sur M6 après minuit.

La définition et/ou le contraste chirurgical dissèque de bien cruelle manière les visages des acteurs et révèlent leur maquillage plus ou moins présent.
Subtil pour les humains, on devine que la crasse est du khôl, exagéré (ah bon ?) pour les orcs, on ne voit plus que des visages caoutchouteux.
Cette même précision de l'image fait apparaitre les différences dans les décors, on devient capable de déceler ce qui est carton-pâte, décor de studio peint dans l'arrière-plan ou écran vert numérique.

En résumé : lumière moche et contraste/définition trop fort enlève toute la magie de cette tri-merveille du film d'aventures.

Conclusion : je garde ma palanquée de DVD, et pis c'est tout !

 

Minibluff the card game

Hotels