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La musique de Vivaldi à Led Zep, la littérature de Shakespeare à Achille Talon, le cinéma de René Clair à American Pie,

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Expendables - Le crépuscule des baffes

 

Plein de has-been au m2, mais pas que...
Plein de has-been au m2, mais pas que... 

… ou le nanard crépusculaire...

« Crépusculaire », cet adjectif est souvent utilisé par les journalistes pour décrire l'ambiance des films de Clint Eastwood, avec ses héros fatigués, désabusés.


En littérature plus évoluée que « Le Journal de Mickey », il s'agit de la fin d'un monde, l'abandon des valeurs, la transformation des hommes.


Certains mythes collent parfaitement à cette dynamique de transition.


La matière de Bretagne décrit la fin du monde des divinités païennes et l'avènement du Dieu Unique. Merlin est le pont entre les deux, à la fois détenteur du savoir druidique et acteur du nouveau monde par sa nature de fils de démon au service de Dieu.

C'est le crépuscule de la magie


Dans « Le Seigneur des Anneaux », la trame de l'histoire est bien la fin du monde des elfes et le début de la domination des hommes. En somme, le crépuscule des elfes.


« Expendables » n'entre clairement pas dans cette catégorie. Est-ce pour autant un film à la Eastwood ?


Malheureusement non, le sympathique et courageux Stallone, qui s'est fait ses gros biceps à la sueur de son front, n'a pas la subtilité du vieux Clint.

Je lisais récemment une interview de « Sly », il se plaignait d'avoir du toujours faire tout, tout seul. Aucun grand metteur en scène ne lui avait proposé de travailler, à la différence d'un Bruce Willis qui a réussi à mêler films d'actions et oeuvres plus intimistes.


Pareil pour Eastwood, mon lapin, pareil. Il a du se prendre en main, lui aussi. Et même encore aujourd'hui, il finance en grande partie ses projets, car les majors ne le suivent pas.

Et comme « Sly », c'est un acteur au jeu … monolythique ! Pas le genre caméléon d'un jeune De Niro.

Sauf que, Clint a fait germer dans les silences de ses personnages des trésors d'humanité. Il réserve des surprises dans ses histoires.


Stallone a voulu rendre hommage à un style de films d'action aujourd'hui caricatural, celui qui enchaîne dialogues Carambar avec les-pains-dans-ta-tronche sur un rythme d'alexandrin :

  • « ta ta ta, ta ta ta, ta ta ta, ta ta PAF ! »

  • « ta ta ta, ta ta ta, ta ta ta, ta ta BING ! »


C'est du « Last action hero », la comédie en moins. Les héros sont experts en vanne et en close-combat. Et ils les distribuent avec la générosité d'une ONG.


Que Jason Statham massacre sévère le crétin qui l'a remplacé dans le pieu de sa copine, ouais.

C'est un blaireau, un petit voyou qu'un soldat-commando écrase vite fait du plat de la main, on veut bien.


Mais quand 4 gus cavalent au milieu des balles et ressortent indemnes, non, faut pas pousser. Votre petit frère qui se crève les yeux et se colle des ampoules au pouce avec « Call of Duty » vous le dira : « Hé, ho, c'est un peu gros, là ! ».

Ce genre de truc, on l'a vu revu, au cinoche, à la TV, en VHS, en DVD... Suffit ! Overdose !


Et ce n'est pas en engageant Mickey Rourke pour nous refaire un numéro de looser repenti comme dans « The wrestler » que ça va le faire. Faut lui écrire un beau texte, Sly...


Question réalisation, ça va, t'assures, ça pète où il faut quand il faut, on dirait du Wagner à l'EPO.

T'aurais du juste engager un bon dialoguiste et un bon scénariste pour te donner un coup de main.

Ca doit se trouver à Hollywood ?

 

La Passion selon (Peter) Gabriel

 

Une musique... passionante ! Si, si !!!
Une musique... passionante ! Si, si !!! 

« La dernière tentation du Christ » ...


Bouquin scandaleux en son temps, les années 50, mis à l'index par le pape. J'ai lu le livre, il m'a gonflé, beaucoup...


Film encore plus sulfureux dans les années 80. J'en parlerai pas, car je ne l'ai pas vu.


Par contre, qu'est-ce que je l'ai écoutée...  ??? Oui, écoutée !

La bande originale du film, la merveilleuse musique composée par Peter Gabriel


Je ne sais pas qui a eu l'idée de l'orientation musicale : Scorcese ou Gab' lui-même.
En tout cas, le choix d'écarter toute forme de musique peplumesque pour créer une musique inédite dans ce type de film a été génial.
C'est un pont entre Orient et Occident d'une intelligence rare.

Jusqu'à ce film, on avait droit dans les peplums à des cuivres pétaradant comme une horde de Harley-Davidson. Gabriel a compris qu'on avait besoin de moins de personnes, ouste les orchestres pompant et pompeux !!! Trouvez-vous normal qu'un film se passant dans l'antiquité soit illustré par des « tatataaaaaaaaatatataaaaaaahhhhh !!! » ?


Gab' a fait preuve d'un souci d'authenticité. Il est allé puiser l'inspiration dans tout le Moyen-Orient, l'Afrique, l'Asie Mineure.

Comme souvent, il a pris du recul, observé et laissé la magie opérer d'elle-même.

Car Gabriel a l'intelligence de s'effacer au bon moment, et de réapparaitre quand il faut. Il suffit d'aller à un de ses concerts pour apprécier son humilité, il laisse de la place aux autres musiciens, il n'envahit pas les abords de la scène avec son merchandising, mais laisse la belle part aux ONG.

Il a donc demandé à des musiciens de tous ces pays méditerranéens de participer à son projet, il les a mis ensemble et par une alchimie divine a réussi à faire sortir une oeuvre magistrale qui renvoie bien des tentatives de métissage world au rang de collage bâclé et de mauvais gout. Il a ensuite saupoudré ses propres idées d'européen de ci de là.

Les bandes originales sont souvent des musiques tellement liées aux films qu'elles sont difficiles à apprécier sans les images.
Rien de tout ça, ici, ce disque se suffit à lui seul.

Et plus que tout autre, il vous fait rêver et voyager dans tous les pays sources d'inspiration de l'oeuvre.

Fermez les yeux, vous y êtes. 


"The feeling begins" ouvre l'album, et le moins que l'on puisse dire, c'est que la magie opère, et tout de suite. On est transporté loin et longtemps d'ici.

http://www.youtube.com/watch?v=i_PqUTUNvws


"Gethsemane" et "In doubt" rappellent les expérimentations sonores de Gab'.


"Of these, hope" vous fait entrer en transe !

http://www.youtube.com/watch?v=F8jMUdC9VDQ



"Lazarus raised", l'éveil ou le retour à la vie, tout en douceur, en finesse.

http://www.youtube.com/watch?v=D8Rro1EPLW4



"With these love" renvoie aux générations de musiciens classiques qui ont si bien joué la Grâce Divine et sont maintenant remplacés par des hordes de scouts, guitaristes médiocres et chanteurs approximatifs qui s'égosillent en "Jesus reviens !" comme autant d'académiciens étoilés à la recherche d'une célébrité factice.

http://www.youtube.com/watch?v=iD6Q5KcZOiI



"Passion" et la voix de Nusrat Fateh Ali Khan vous fera frémir d'émotions.

http://www.youtube.com/watch?v=_lPR40ZLD-w



Quand je me mets "A different drum", mes pieds bougent tous seuls, ma tête suit les incantations vocales (pléonasme !), je souris peu à peu, j'oublie la grisaille, le froid, la solitude, les déceptions, les trahisons, les rêves perdus.
J'ouvre les yeux à la fin du morceau, transporté en un lieu inconnu des voyageurs du métro qui me dévisagent en me prenant pour un demeuré. Les pauvres, ils ne savent pas... 

http://www.youtube.com/watch?v=LUF_3oKlX_U



"It is accomplished" termine (presque) cet album sur des accords d'espoir, de joie, d'enthousiasme communicateur.

http://www.youtube.com/watch?v=qPFZSuVydrk



"Bread and wine" le termine pour de bon, avec des notes apaisées. Le retour au calme après un long très long voyage...

http://www.youtube.com/watch?v=Giz1cZd90kE



Vous en connaissez beaucoup des disques qui ont ce pouvoir ?

Pour cet album, l'Ange Gabriel a du souffler 2-3 idées au Beau Peter.

 

 

La beauté du Diable - Jamais le Diable ne fut si beau et facétieux...

 

L'affiche d'époque
L'affiche d'époque 

 

Ou encore : "beau comme Gérard Philippe, et facétieux comme Michel Simon"


Allez, hop ! Un p'tit coup de nostalgie « grand-mère à moustaches » : c'était mieux avaaaaaant... Et un p'tit coup de Calimero « c'est trop injuste, à la fin »...


Et pour qui ou quoi tout ça ?


Pour René Clair et l'un de ses films : « La beauté du Diable »

Mais, crénom de Zeus, d'où sort-il ça le Big Bad ? se demande le lecteur égaré.


Feurste : de souvenirs du ciné-club d'Antenne 2 qui passait des « vieux » films après les « Apostrophes » de Bernard Pivot, back in the 80's.

Deuze : de la ré-édition que je n'attendais plus en DiViDi de ce très beau film un brin suranné, mais tellement charmant.


Alors, si vous n'aimez pas le cinoche en noir et blanc, passez votre chemin. Ca vaudra mieux pour vous et je ne m'énerverai point.

Si vous êtes curieux de découvrir comment était le cinéma français avant Claude Zidi ou Luc Besson, continuez.


Merci, vous êtes toujours là, ça fait plaisir.


René Clair, en 1949, est revenu en France après s'être exilé à Hollywood pour causes d'allergies conjuguées aux nazis et à Vichy. Ce digne représentant du cinéma classique est depuis tombé dans l'oubli par la faute de « la nouvelle vague » des années 60, où des réalisateurs un peu punks prônaient l'usage de la spontanéité face aux films de papa.


Les plans caméra à l'épaule, en décors naturels, l'improvisation des dialogues, tout cette énergie a balayé la façon de travailler de gens comme René Clair ou Marcel Carné.


Alors, je n'ai aucune envie de défendre les très vieux face aux vieux modernes. M'en fous.

J'aime certains de ces films « classiques ». Point.


Et pourquoi donc ?


Quasiment chaque plan est une photo d'art. L'utilisation des ombres et lumières en est la cause première. Imaginez un film aussi beau que le fameux cliché du « Baiser de l'Hotel de Ville ».

Et c'est un film, pas juste une photo. Si, si.


Des dialogues qui sonnent comme de la poésie. Non, ce n'est pas Prévert, il travaillait plutôt avec Marcel Carné. Il faut absolument voir les « Enfants du Paradis ». … Ok, on en parlera une autre fois !


Donc, des dialogues bien écrits. Garanti 100% sans grossièretés, à l'époque, Bertrand Blier se faisait encore taper sur les doigts à l'école, petit canaillou !!!


La Beauté du Diable raconte le mythe de Faust avec une délicieuse candeur. Gérard Philipe est le prince charmant de toute une génération de jeunes filles. Face à lui, Michel Simon est un Méphistophélès farceur, roublard, truculent, pas vraiment inquiétant, mais très efficace.


En filigrane, il faut voir à travers ce film l'inquiétude de l'époque : on sort d'une guerre atroce pour entrer dans une autre qui ne porte pas son nom. Autrement dit, de la 2nde guerre mondiale à la guerre froide. Mais tout ceci est fait avec gentillesse, on a eu assez d'horreurs, ça suffit !


A voir comme un tableau du Louvre. On ne fait plus de films comme ça. Il existe des merveilles en 2010, d'accord. Il y avait de fort jolies choses il y a trèèès longtemps, d'accord aussi.

 

Captain Orgazmo - Film d'auteurs iconoclastes, cultivés à réserver à un public instruit et initié

 

Un Héros saint et sain d'esprit !
Un Héros saint et sain d'esprit ! 

 

Pour faire mon intéressant, je vais employer des mots pas français, et un peu anglais. Ca fait plus-mieux-branchouille-le-type-qui-maîtrise-le-sujet.


Ce truc bizarre (that weird thing) est un crossover (un mélange de genres) assez incroyable (quite unbelievable) entre films de kung-fu (kung fu movie), documentaire religieux (...666, the number of the Beast !!!... sorry, j'enlève le CD de Maiden...), film de balles (Tiger Woods best shots).


Un OVNI cinématographique de plus, recommandé par un digne et éminent ami, homme de foie, avec un « e », j'insiste, j'ai en ma présence un ballon vert et son analyse de sang, ainsi que le reçu de la caution que nous avons du payer pour le faire sortir du commissariat du XVIIIème. Le « nous » est là pour mentionner l'action désintéressée que tous ses petits camarades de travail ont entrepris pour payer les Archers du Roy (autrement dit la Maison Poulaga), ses avocats, les bars à putes qu'il a saccagé, et toutes les aimables travailleuses qui ont donné « de leur corps pour arrêter ce Doux Agneau devenu Tigre Priapique ; en effet, l'article 69-C-alinéa 12 stipule, je cite : « Quand on paie pas une radasse, ya viol et vol, ce qui fait double embrouille. Alors, on file directos en taule, sans passer par la case Départ, le flouze reste dans ton bénouze, au vestiaire, à coté du savon, qu'il ne faut surtout pas laisser tomber, non mais ! »


Donc, cet homme de Foi, qui portait bien son nom, jusqu'à ce qu'un tonneau de la Cuvée Spéciale de Lulu la Nantaise lui tombe dans le gosier, entrainant dans sa déchéance le « F » majuscule et pour y coller à la fin le « e » de l'infamie qui lui va désormais comme un gant, qu'il va se prendre dans la gueule s'il n'arrête pas de ronfler, nom de Zeus !!!


Le parcours jusque là pur et sans tâche de cet Apôtre du Bien a voulu qu'il passe par Pigalle pour y célébrer les funérailles d'une vie désormais défunte d'abstinence, d'abnégation et de solitude à déficience chromatique face à la contemplation mystique d'écrans noirs et faiblement verts.

Les initiés monastiques appellent ça du 5250, il ne fallait qu'un pas pour qu'il trébuche dans le 51 et tombe dans la déchéance irréversible du vice, laissant sa vertu aux vestiaires, juste à coté des toilettes, - où c'est ? Où c'est ??? - au fond du couloir à gauche. - Merciiiiiii !!!


Après avoir sonné le glas de sa Rédemption qui annonce en fanfare une vie merveilleuse avec une créature de rêve, - pincez-moi, je rêve, … aïe, ouille ! Créputain, pas si fort !

Venons en enfin à cet oeuvre du 7ème art qui marquera l'Histoire du Cinéma comme « Citizen Kane » et « Les Tortues Ninja » en leurs temps respectifs.


Mesdames, mesdemoiselles, messieurs, voiciiiiiiiii... « Le Capitaine Orgazmo » !!!!!

Comment, ça, vous ne connaissez pas ?

VOUS NE CONNAISSEZ PAS LE CAPITAINE ORGAZMO ???


Il est temps d'en apercevoir les exploits avec cette mise en bouche (Ouh ! Qu'il est coquin!)

http://www.dailymotion.com/video/xa7ayh_capitaine-orgazmo-bande-annonce-fr_shortfilms


Le rendu des acteurs de ces films avant-gardistes est trèèèèèèès bien rendu dans cet extrait :

http://www.youtube.com/watch?v=6MsC9XBGFQo


La personnalité, le charisme hors norme de ces Héros des Temps Modernes, dignes gardiens du début de chaque mois sur cette chaîne cryptée française qui perpétuent la Tradition Française de l'accueil, la qualité du service de ces hommes et ses femmes qui luttent tous les jours pour un monde meilleur où il n'y auraient plus de guerre, où l'amour serait roi, où tu serais ma reine... euh, je m'égare, c'est l'émotion, pardon.

http://www.dailymotion.com/video/x50cd1_capitaine-orgazmo-trailer_fun


Ces penseurs qui reformulent sans cesse leur idées afin d'approcher la Vérité

http://www.youtube.com/watch?v=Y2iBgKNq54w


Et enfin, ceux, qui, au péril de leur vie et leur santé mentale, utilisent des techniques ancestrales secrètes pour le Triomphe du bien.

http://www.youtube.com/watch?v=MVbR8YTmTFE


Décidément, les créateurs de South Park, Trey Parker et Matt Stone, à l'origine de cette histoire au souffle épique, sont vraiment, mais alors, vraiment-vraiment-vraiment... pleins … de ressources ( ???)


Enjoy !

 

Hamburger et cheeseburger pour végétariens loufouques.

 

L'un ne va pas... ... sans l'autre !!!

L'un ne va pas...
L'un ne va pas... 

Welcome chez les barges !!!


Deux films faux jumeaux « Hamburger film sandwich » et « Cheeseburger film sandwich ».

En VO, les titres sont différents :


« Kentucky fried chicken movie » :

http://www.youtube.com/watch?v=GZbkavMePmI



« Amazon women on the moon » :

http://www.dailymotion.com/video/xdl5tw_1987-cheeseburger-film-sandwich-joe_shortfilms


Oeuvres collectives déjantées de grands malades comme : John Landis, Joe Dante, les frères Zucker et David Abraham. Des furieux qui feront les inoubliables « Gremlins », « Blues brothers », « Y-a-t'il Machin pour faire ceci ou celà », « Scary movie 3 et 4 » (les meilleurs, ou moins nazes, seon le point de vue : « L'Echos des Savanes » ou « Cahiers du cinema »), etc...


Bref, du cinoche de très haute tenue, à très forte concentration d'explosifs zygomatiquesques.

Boum !!! On rigole, on rigole, on rigole.

Enfin... Moi, ça m'fait marrer, mais si comme mon contrôleur des impôts et mon voisin expert-comptable, vous ne partagez pas le même humour, je vous renvoie à « Capital », « Le Monde » et la page des histoires drôles de « La Croix » : http://www.youtube.com/watch?v=Oe3St1GgoHQ


Bon, je vois, pleins de décérébrés qui continuent à lire, merci de votre soutien.


Il s'agit de sketchs parodiant joyeusement des films/émissions emblématiques de l'époque et d'avant les 70's :

  • films d'arts martiaux, Bruce Lee était déjà mort ET légendaire

  • films gentiment érotiques et surtout nunuches, depuis on a fait pire dans les TV réalités de TF1 et M6

  • journaux télévisés loufoques

  • publicités pourries (Les Nuls y puiseront l'idée)

  • films catastrophes (les ancêtres de « 2012 » et le « Jour d'après »)

  • films de la blaxploitation, films de gangsters avec des acteurs noirs

  • King-Kong

  • les films en machin-bidule-rama des années 50. John Waters avait d'ailleurs fait le seul et unique film en Odorama : « Polyester »

  • Science-fiction ultra kitsch

  • soutien à l'association « Black without souls » pour les noirs qui chantent de la variétoche blanche ultra-pourrie avec le soutien de B.B. King lui-même !

  • émission de TV de type enquête historique

  • film de pirates

  • l'homme invisible

  • etc... la liste est trèèèèèèèèès longue !!!


Ces deux OVNIs cinématrographiques sont les prototypes fauchés et potaches de ce que seront les « Y-a-t'il un pilote dans l'avion » qui nous a sauvé des films de catastrophes aériennes et plus tard les pastiches usés jusqu'à la trame.


Amis du bon goût, c'est pour vous !


Grosses bises, votre oncle Pete qui vous aime très fort.


 

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