Encyclopédie du savoir inutile et dispensable.
The Runaways - Run away with my heart... run away with my soul...
les actrices |
Ca pourrait être un de ces biopics (mot à la mode) convenus qui arrivent à rendre propre et présentable une histoire douteuse.
Vous voulez un exemple ? « Larry Flint » fait il y a un bon moment par le soi-disant subversif Oliver Stone.
Non, ici, on donne dans les tripes, mais sans tomber dans un voyeurisme de TV-shit-reality « Nightmares are my reality, the only kind of real fantasy »… (une caisse de Champomy à qui me dit d’où vient ce plagiat clin d’œil !!!)
Et pis, d’abord, « The Runaways », qui c’est disent en chœur la ménagère de moins de cinquante piges avec sa fille gavée de Gaga et le fiston planté devant sa PS3 ???
« I love rock’n’roll ! Put another dime in the juke-box, baby, I love rock’n’roll, put another dime and dance with me… Haaaooowww !!! »
Presque ça… Presque ça, Pomme à l’huile. Ca, c’est Joan Jett. Alors, tu remontes la machine à rocker quelques années encore en arrière quand tu écoutais Ringo et Sheila sur la téloche variétoche giscardienne, et tu auras « The Runaways », avec Joan Jett, justement. Et pas seulement la Ténébreuse. Y avait aussi pleins de filles avec elles. Que des filles, en fait. Pour faire LE premier groupe de rock féminin qui a cartonné féroce (y en a eu avant, et je remercie les commentaires éclairés qui suivent l'article). Celui qui a ouvert la brèche et fait en sorte que les frangines ne se contentent plus de crier et jeter leurs sous-vêtements sur les bôôôôs chanteurs on stage.
C’est grâce aux « Runaways » que les filles ont pu elles aussi faire du rock, comme pas longtemps après Chrissie Hynde, Melissa Etheridge, The Go-gos (plus pop que rock), The Bangles (très pop aussi), The Breeders, PJ Harvey, Courtney Love, etc…
Exactement comme Sigourney Weaver (Love of my life !!!) au cinéma avec « Alien ». Sans elle, pas de « Lara Croft » ou « Resident Evil »… Encore que… on aurait pu se passer des « Resident Evil »… Passons donc…
Donc, respect, les djeunz, respect. R.E.S.P.E.C.T. comme le disait Aretha Franklin. RESPECT, on vous dit.
Ces filles ont vécu et se sont battu pour le féminisme à leur manière : sur scène avec des instruments soi-disant réservés aux mecs : guitare, basse et batterie.
Et elles ont fait aussi bien que les poilus.
Si, si.
Et elles ont fait autant que le MLF et le « Women’s Lib’ ».
Oh yeah !
Avec cette toile, Floria Sigismondi a réussi un incroyable coktail. Montrer des gamines paumées par leur succès soudain, naïves face à cet escroc manipulateur de génie de Kim Fowley, vieillissant prématurément avec le show business.
La petite Joan Larkin, adolescente bouillonnante, devient peu à peu Joan Jett, la Rebelle, la Rockeuse. On sent bien la gamine qui se maitrise constamment pour ne pas jeter à la figure des vieux crétins toute la frustration de leurs règles d’un autre âge. C’était bien la peine que les hippies essaient de changer le monde pour rester aussi pétrifiés dans les traditions quelques années plus tard.
« Les filles ne jouent pas de guitare électrique »…
Mais bien sûr, vieux kroum !!! Prends ces accords rageurs dans les esgourdes, tu m’en diras tant. A condition qu’il te reste encore assez de ratiches pour causer propre, vu que je m’en vais te ramoner le gosier avec ma guitare !!!
Bravo à Kirsten Stewart et Dakota Fanning pour leur performance bluffante dans le rôle de Joan Jett et de Cherry Currie aussi vraies que possible. Un immense bravo à ces deux rescapées de « Twilight » qui démontrent qu’il y a une vie après le mortel ennui d’une franchise cinématographique pale comme un vampireUn film simple et efficace comme les chansons des « Runaways », sincère et authentique comme les « Runaways » elle-même.
Alors, je profite de ma petite tribune pour rentrer dans le lard des confrères décidément à coté de la plaque question rock et musique autre que celle des bien-pensants, intellos bobos à lunettes en écailles. Voui, moi, l’amateur bien plus éclairé et tout aussi mégalo que les pros avides de bons mots pour leur éditos, j’ai envie de me payer la tête des cuistres de Libé qui ont trouvé drôle leur jeu de mots (laid) en titrant « Runaways, le girl band (mou) ».
En passant, merci à Boby Lapointe, comme dirait Michel Drucker que je salue au passage. Lui, au moins, quand il ne connait pas, soit il la ferme (sa gueule), soit, dans le doute, il l’ouvre (la boite à cirage).
Quand on fait un titre pareil et ensuite un article aussi insipide, inutile de qualifier un film de « scolaire », on relie sa copie, et on essaie de faire mieux que quelques pitoyables lignes tapées à la va-vite dans le train sur son portable de cake juste avant d’arriver à la rédaction, passqu’on est à la bourre, nom de Zeus, et qu’on va encore se faire allumer par le rédac’ chef, aïe, ouille !!!
J’avais entendu Daniel Cohn-Bendit himself dire il y a quelques années que la plus grande influence de « Libé » était… « L’Equipe » !!! avec son sens du jeu de mots (vraiment laid).
Alors, en matière de calembours, restons en au « Canard Enchaîné » : Coin !
Eux, ils ont vraiment du talent.
Chick Corea - Un ange et deux boulets, un public zombie, normal, on est à Paris...
Vaillant capitaine refusant le naufrage |
Chick Corea ce soir à la Villette. Belle affiche, non ? J'écoutais « Return to forever » et bien d'autres jazzmen furieux ou rockers subtiles à une époque où je me gavais de musiques, pleins de musiques.
Mon appétit est toujours resté féroce, et mon esprit toujours iconoclaste quand on essaie de m'arnaquer ou me faire prendre du Coca pour du Médoc. C'est pas parce que le Coca a été inventé par un pharmaco qu'il en est pour autant un médoc, et encore moins « Un Médoc ».
Pas confondre, siouplé, pas confondre.
Donc, voir Corea ce soir, quelle joie ! L'un de ceux avec Jaco (Pastorius), Pat (Metheny), Keith (Jarrett), Miles (Davis) qui m'ont rendu moins binaire et moins couillon.
Dehors, un monde pas possible. C'est encourageant et réjouissant face à l'appauvrissement culturel et musical, on se dit que tout n'est pas perdu face à une foule venu voir un type inconnu des NRJ-Skyrock-TF1-M6 et qui n'a bénéficié d'aucune promo tapageuse si ce n'est son nom sur l'affiche de « Jazz à la Villette », rien de bruyant, non, rien.
Je doutais de la capacité de la salle, ouf, non, impeccable. Mais un peu plus, il remplissait le Zénith juste à coté : Ouaiiiiis !!!
Concert en trio avec Miroslav Vitous, vétéran de Weather Report remplaçant de Jaco, l'étiquette lui colle à la peau depuis plus de 35 piges ; Roy Haynes... j'avoue mon inculture, connaissais pô ce type... désolé...
Le Chick et ses deux potes débarquent, on cause un peu avec le public, très décontracté, décontrassté même (Garcimore dixit).
Quelques notes de piano jetées avec une fausse négligence donnent tout de suite l'ambiance, c'est pur, cristallin, complexe mais tellement beau.
Mais bien vite, les deux comiques troupiers de service qui font office de section rythmique multiplient les tics de jazz comme un karatéka dans un série Z : avec application, mais surtout un ennui communicatif.
Miro Vitous (ne pas confondre avec Sid Vicious) veut battre le record de la montée d'arpège de la corde de mi grave jusqu'aux aigus les plus faux de sa contrebasse.
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Ok, man ! T'as gagné, c'est bon, on a compris...
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Attends, je suis sûr que je peux faire encore plus vite
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Euh... certainement, mais si tu JOUAIS un peu de la musique au lieu de faire de la gym ?
Et quand il se mets dans l'idée de sortir son archet pour faire le « classique », pourquoi ajouter systématiquement cette wha-wha horrible-moche-laide ??? Si tu veux mon lapin, je te passe mes distos, tu sonneras atroce'n'roll. Espèce de faux-punk, va !
Roy Haynes, lui, fait la vaisselle avec ses baguettes. En effet, son jeu est aussi excitant qu'une bouteille de Paic Citron.
Ca donne 3 types qui jouent chacun dans leur coin, sans cohésion ni complicité, et c'est barbant à vouloir se laisser pousser une pilosité faciale à la ZZ Top.
Aucune surprise dans les morceaux, même structure convenue : le piano commence, il joue ensuite le thème, le triture dans tous les sens, le bassiste fait son numéro de sprint sur quatre cordes. Et pendant ce temps, le batteur chatouille ses futs et cymbales avec l'entrain de la Grosse Lulu du « See Phylli's Bar » de la rue Pigalle quand elle se fait camballer par les poulets pour la cinquième fois dans la semaine.
Et dire que le mot « jazz » avait une connotation grivoise, donc festive et enjouée, à ses débuts y a environ un siècle.
Le public applaudit consciencieusement à la fin de chaque démonstration stérile et aussi entre les morceaux.
Finalement, je ne dois pas être assez parisien, encore trop marseillais (ouf !) et trop rocker (ouf derechef !) pour refuser de suivre les lemmings snobs et branchouilles qui viennent risquer leur vie dans mon 19ème prolo-bobo bien loin de leur quartier rupin qui sent déjà le sapin. Je suis trop jeune pour mourir et pas assez vieux pour arrêter le rock.
En fait... « je suis vivant et vous êtes morts ! »
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Pink, la fille, pas le Floyd...
Beau brushing. |
Ce qui aurait pu être un gag comme la reprise de « You shook me all night long » par Céline Dion dopé aux amphét' et Anastacia se révèle une étrange surprise.
De Pink, je me souvenais d'un clip pour la promo d'un film raté : « Moulin Rouge » avec un Ewan Mc Gregor émasculé et une Nicole Kidman relookée par Jean-Paul II au lieu de Jean-Paul Goude, bref, Kidman aussi excitante qu'une nonne.
Même pas un nanar comme je les aime, juste un mauvais film avec des chansons pop sur fond d'histoire d'amûûûûr au 19ème siècle... Navrant...
Quitte à faire dans l'anachronisme, autant y aller rock'n'roll, prendre la DeLorean de Marty Mc Fly, sa P.R.S., un ampli Marshall (ou mieux un Soldano), un groupe électrogène, et aller jammer avec Wagner ou Berlioz pour leur faire inventer le heavy metal 95 ans avant et provoquer un paradoxe temporel qui aurait annihilé les Nouveaux Romantiques des années 80 à grand coup de riffs saignants... Gniark, gniark, gniark...
Seul le clip promotionnel de cette sombre bouse était alléchant avec des minettes habillées très chastement qui sussuraient d'une voix de sirène : « Voulez-vous coucher avec moi ? Ce soir... »
- Bougez pas, je passe dévaliser la pharmacie en talismans en latex et j'aaaaaarriveeeeeuuhhhh !!!
http://www.youtube.com/watch?v=RQa7SvVCdZk
Donc, dans ce clip, la demoiselle Pink. Mignonne, certes, mais simplement un n-ième clone de Madonna, en un peu plus rock, et faussement punk, vu qu'elle se fait appeler « Pink ».
Ca me rappelle cette histoire :
Pink et Punk sont dans un bateau, Pink fait un beau solo de gratte, et de dépit-frustration, Punk tombe à l'eau.
Qui reste-t-il 30 ans après ? Pink avec sa Fender Strat sublime. Punk est mort, ou pire devenu banquier ou pédégé...
Ou encore Pink et Punk, version rock de Tic & Tac, sauf que j'ai jamais su qui était Tic et qui était Tac. Là, c'est facile, Pink est classe avec sa strat, Punk ne sait pas jouer et a les cheveux vert pomme, ou pire rose, donc pink, finalement. Vous suivez ?
Punk is pink, but Pink is not punk...
Pour en revenir à la fille qui se fait appeler Pink mais qui n'a aucun rapport avec LE Pink que j'adore depuis pfffou... bien plus... Cette fille, pas plus punk que MON Pink est en fin de compte assez rock.
Pour preuve, cette reprise de « Babe, I'm gonna leave you » popularisée par Led Zep et volé par les mêmes à Anne Bredon et Joan Baez, les petits canaillous !!!
http://www.youtube.com/watch?v=6tQubiPhhV0
Déjà, la demoiselle chante bien, avec des nuances surprenantes. Et pis son groupe assure lourd...
Rhâââhhh, le gratteux avec sa Les Paul de la Mort qui tue... C'est pas à la « Vilaine Star » qu'on verrait ça.
D'ailleurs, c'est pas dans la Gaule occupée par la tribu des Varyétoschs' que l'on pourrait voir ça.
Sans déc', un solo de guitare, vous n'y pensez pas, quelle vulgarité !!!
La raison à cet écart ?
Regardez et comparez...
Guitariste-chanteur rocker à la française : http://www.youtube.com/watch?v=FAxJSn32UHk
Groupe de rock britton : http://www.youtube.com/watch?v=Ll-bxodxjts&feature=fvst
Angleterre – France : n à 0, « n » étant un nombre entier foutrement grand depuis plus de 40 ans.
Et John Lennon l'a trèèès bien résumé : "French rock is like english wine"...
...Brittania rules... Snifff...
Toy Story 3 - Impasse, pair, et pas manqué !
Touché... en plein coeur ! |
Toy Story 3, … j'ai fait l'impasse récemment, et je pensais ne pas pouvoir en causer, d'où mon renvoi chez mes talentueux collègues du déblocnot' : http://ledeblocnot.blogspot.com/
Vous ne connaissez pas ??? Allez vite y faire un tour, nom de Zeus !!! Et plus vite que ça !!!
…
Donc, Toys Story 3...
…
Encore un truc qui va décevoir plein de monde...
Si vous n'avez pas aimé le 1 ou le 2, pas la peine. D'ailleurs, si vous n'avez pas aimé le 1, pourquoi êtes-vous aller voir le 2 ?... Franchement, des fois, on s'demande....
Si tu es un sale gosse (mes 45 piges permettent de tutoyer les sauvageons, alors !) et que tu massacres tes jouets, laisse béton, pas la peine, tire-toi, c'est pas pour toi, vas chourer les DVD de Schwartzie dans la collection de ton bourrin de père, et éclate-toi comme tu éclates ton entourage dans tous les sens du terme, oreilles des parents, déco de la chambre, joujoux donnés en pâture...
Si tu es un pré-ado ou un ado rebelle et révolté (là, encore, je tutoie, même si ça énerve) qui jette ton portable tactile Point G+ de mes deuzes de p'tit bourgeois ou racaille quand il n'affiche pas ta tronche de cake sur Face de Bouc plus vite que ça, faut pas déconner... , regarde « Saw 6 ou 7» ou « Hostel », tu seras en plein dans la cible... marketing des conneries qu'il faut mater pour avoir l'air d'un vrai dur..
Si tu es un intello-cérébral-gauchiste-altermondialiste (je tutoie toujours, passque... passque !!!) qui vomit Disney et toute la World Company, je te comprends, mais tu devrais faire contrôler ta vue de temps en temps, ya des surprises au bout de ton grand nez aquilin, lis autre chose que les Inrocks ou « le Monde », et mets un peu de Mezcal dans ta tisane, ça détends...
Si tu es un vieux con blasé de tout (toujours, le « tu », et là, ça gonfle un max pour les > 50 piges !!! ), tu crois tout connaître, … ben, non, la preuve, ya une vie au delà de TF1 et M6 et du Rosa, rosae, rasom, rasoir de ton enfance...
Par contre... si tu as souvent eu un lien avec tes jouets, tes meilleurs amis, confidents de tes joies, tes rêves, tes peines, tes secrets, tes espoirs. Si tu as toujours trouvé qu'il y avait quelque chose au-delà de la peluche, un peu de ton âme, un peu de toi, de ta vie. Cette histoire peut réveiller en toi des émotions extra-ordinaires.
Si tu te souviens encore de ta peluche préférée, si tu l'as gardée, si tes parents l'ont toujours, oui, ce film peut te toucher.
Si tu as pris soin de ces compagnons de rêveries comme de tes meilleurs amis, ouais, ami lecteur, mon semblable, ma soeur, on est sur la même longueur d'onde.
Si tu en as voulu à fond à fond à fond à un super pote ou une super copine le jour où il (elle) t'a dit que le Père Noël, c'était pour de faux, ...welcome !
Si tu rêves encore, en étant adulte, et plus que ça, d'un monde où l'on pourrait faire autre chose que manipuler, exploiter, casser, tuer les autres, … ouais, va voir ce film.
Mais, seulement si tu rentres dans ces petites cases exiguës et inconfortables, … s'il te faut des lotfs de 300 m2, la Porsche, et les pétasses à gros nénés, … pas la peine... Passe ton chemin...
Pas mieux (Des chiffres et des lettres)
Euh... |
Parler de « Toy Story 3 » ?
Ben, c'est comme aux « Chiffres et les lettres »... pas mieux que le Déblocnot' :
http://ledeblocnot.blogspot.com/2010/07/toy-story-3-2010-de-lee-unkrich-par-luc.html
Et je m'en sors pas aussi bien que le monsieur :
http://www.dailymotion.com/video/xb0jf7_des-chiffres-et-des-lettres-huit-le_webcam
Donc, allez lire ce bel article.
Hop !
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Merci Bruno pour ces précisions encyclopédiques !!!
:o)
Les Runaways n'ont pas été le 1er groupe féminin de Rock. IL y a eu auparavant Birtha (excellent et talentueux), Mother Superior (naann ! pas le trio de L.A.), Fanny, Bones. Et le machisme, la jalousie et la bêtise étaient déjà de mise. Les "journalistes" n'hésitaient pas à juger la plastique, plutôt que la musique (sic !). Mais évidemment, aucun n'a eu le succès des Runaways.
Je me souviens d'une vieille interview, de Lita ou Joan, où elle relatait tous les problèmes de sexisme auxquels elles avaient été soumises avec les Runaways. Une fois un écrivaillon avait engagé l'interview à peu près de la façon suivante : "Alors comme ça, vous êtes des salopes". Ce genre de primaire a fini pas avoir raison de la pérennité du groupe.
Maintenant, c'est mieux : on encense des pouffes qui se pavanent à demi-à-poil, et qui n'ont plus vraiment de connaissance musicale (ou à peine). Mieux vaut se trémousser que de savoir chanter ou jouer.
Alice Cooper ?
Naaaaan ! Pas de Champomy pour l'Aigle. T'as triché, t'as cherché sur Google. Mais t'auras une boutanche de saké la prochaine fois qu'on se voit. Ou alors du sans plomb 98, à peu près le même gout...
Le plagiat c'est "Dreams are my reality, the only kind of real fantasy", B.O.F. de "la Boum" chantée par Richard Sanderson....j'attends ma caisse de Champomy :D ...mais honnetement je préfère le cidre doux