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Encyclopédie du savoir inutile et dispensable.

100 % inutile, donc 100 % dispensable !

 

Vers l'infini et au-delà !!! Ahhhh... bobo la tête !!! Tommy, can you see me ?... Harem virtuel... arg...gasp...gargl.. .goulp... Geek récursif... nettement moins sexy (damned !)

Vers l'infini et au-delà !!!
Vers l'infini et au-delà !!! 

 

Les cinéastes appellent ça une mise en abime, les matheux une récursion, les gymnastes une contorsion. L’érudit, c'est-à-dire toi, hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère, dira plus simplement « du remplissage onaniste inutile et futile », voire "du foutage de gueule" si t'es vraiment vénère...

Ne t’ai-je point prévenu avec le nouveau titre de cette somme d’ennui que devient ce site ?

« Encyclopédie du savoir inutile et dispensable ». Les choses sont claires, toi qui vient t’aventurer ici ne peut trouver que fariboles, billevesées et calembredaines. Pour les choses sérieuses, circulez, y a rien à lire.

Maintenant que nous sommes entre nous, cuistres farceurs et farfadets malicieux, quel est le sujet du billet de ce jour ?

…euuuuuh… il est aussi épais qu’un bifton de 5 euros avachis par moult transactions modestes entre besogneux de hauts étages (c’est bien connu, les pôvres habitent au derniers étages sans ascenseur)

Le sujet, le voici, c’est le 100ème article, et avec la manie du bipède de vouloir se réjouir régulièrement avec des rituels récurrents nommés anniversaires, le chiffre 100 se colore d’habits  brillants et chatoyants comme le costard d’un premier ministre fraichement nommé.

Et pour être plus précis, parmi les bipèdes, il s’agit surtout des femelles qui y accordent une importance religieuse. Les mâles sont beaucoup trop occupés entre la bière et le prochain match de foot.

Je compte donc sur les frangines pour venir zici et marquer de leur délicate présence les commentaires trop souvent vides d’interpellations non policières ni militaire mais purement littéraires.

100, c’est 10 fois 10, soit 5 fois des paires de paluches amies promptes à une accolade fraternelle ou un câlin derrière les oreilles (miaou !).

Pour les baffes, veuillez attendre le n° 1000, histoire de déplacer le vent de la torgniole pour un vrai motif d’ennui. Là, franchement, seulement 100 articles, vous n’avez qu’un avant gout de l’ennui, un succédané du vrai Ennui, celui qu’attendent les damnés ou que vivent au quotidien de leur morne vie les comptables, les informaticiens, les sénateurs, les conseillers financiers.

Les autres, les poètes, les comédiens, les musiciens, les peintres, les sculpteurs, les écrivains, bref les artistes des arts majeurs, mineurs ou simplement architectes de leur propre vie, 100, c’est un nombre juste après 99 et avant 101 qui ne leur fait penses qu’aux 101 dalmatiens : wouf !

Pas de quoi fouetter un chat ou dépecer un chien, mais plutôt le prendre sur ses genoux pour le grattouiller, déclencher des spasmes réflexes de la papatte du toutou ou la machine à ronrons du matou.

Je peux célébrer ton anniversaire, certes, mais aussi penser à toi tout le temps et faire en sorte que ta vie soit une fête en continue.

Je préfère faire attention à toi, qui me connait et qui compte pour moi, plus d’un instant par an.

Et toi, qui sait qui est vraiment Big Bad Pete, tu sais que c’est vrai. Et toi, qui ne fait que passer par curiosité ou par habitude anonyme mais sympathique, je t’envoie toute mon amitié virtuelle, mes ondes positives pour se donner rendez-vous dans la noosphère, le royaume des rêves planétaires.

Un peu comme la plaque symbolique de la sonde Pioneer, ceci est un message de paix envers vous tous (et surtout toutes) qui êtes passés laisser trainer vos yeux avec nonchalance et/ou bienveillance et fait en sorte que « Big Bad Pete » soit en tête des références de pages Google.fr clairement devant l’anti-héros de Disney.

Hare krishna, à vos souhaits, faites un vœu, et n’oubliez pas « 5 œufs frais au kilo ! »

 

Nos amis les bêtes. Nouvelle tendance cet hiver : le pingouin !

 

"Dis, t'as du chocolat ?" "Ah, ben, voilà du chocolat !"

"Dis, t'as du chocolat ?"
"Dis, t'as du chocolat ?" 

 

Le nouveau petit compagnon qui fait fureur dans la jet-set est le pingouin. Fini les yorkshires, les chihuahuas, les bichons, les sphinx, les pythons (même monty), les migales  (migale, migale, qui est la plus affreuse ce soir ?). Tout ça, c’est has-been. Seuls ceux qui ont choisi le pingouin ne passeront pas pour des papys à toutous ou des mémés à matous.


Mais attention, attention, 1000 fois attention. Un pingouin est un être vivant qui a un cœur comme toi, lecteur. Ce n’est pas un jouet que tu peux laisser au coin d’une aire d’autoroute.


Réfléchis avant de t’engager avec ton nouvel ami. Ce n’est pas parce que tu chantais en chœur « A la pêche aux moules » avec Nestor que tu as forcément la fibre pinguinophile. Tu aimes le chocolat ? Et alors, Nestor ? Tu comptes le nourrir avec tes restes de surprises ovipares germaniques chocolactées ?


Seras-tu capable de t’en occuper correctement ?


Un pingouin peut-il bien vivre en appartement ?


Ca dépend où : à Tourcoing, le pingouin est dans l’bain ; à St Raphael, c’est l’Sahel.


Si vous êtes en appartement, veillez à lui laisser assez d’espace de jeu. Les parquets cirés ou les marbres sont largement préférables aux carrelages. Si vous avez les moyens, le marbre de Cararre avec ses veines blanches, grises, scintillantes, toujours surprenantes, lui rappellera sa chère banquise natale. Il résistera d’ailleurs plus longtemps que le parquet aux glissades artistiques de votre cher alcidé.


Le congélateur doit être facile d’accès. Prévoyez un escabeau, ou mieux : un modèle de réfrigérateur-congélateur avec les compartiments inversés. Un congèl’ 4 étoiles est obligatoire, -18° est la température de confort de votre ami Nestor (appelons-le « Nestor » voulez-vous ?)


La baignoire de votre salle de bain, avec quelques menus aménagements, fera un fabuleux terrain de « half-pipe » hivernal pour peu que vous laissiez la fenêtre ouverte. Joie ! Bonheur ! Depuis peu, il fait un temps merveilleux à mettre un pingouin dehors ! Vous savez que vous avez de la chance ? Bien plus doué que tous les avatars de Tony Hawk de consoles de jeu, Nestor, le Roi de la Glisse, vous époustouflera de virevoltes en piqués et palmes à la Lune.


Encore quelques jours de frimas et les bassins des jardins publics vont se transformer en patinoire. Nestor sera alors un fabuleux moniteur de patinage artistique et vous permettra enfin de nouer conversation avec la voisine du dessus que vous effrayâtes naguère avec votre hérisson apprivoisé.


Le dernier petit détail qui pourra vous retenir : adieu les vacances d’été aux Seychelles, vive l’Antarctique ! Mais ne vous inquiétez point : vous serez fins prêt pour affronter le bouleversement climatique annoncé par le Maître Roland Emmerich dans son œuvre vivifiante « Le jour d’après ». Avant d’avoir le temps d’éternuer, du fait du réchauffement climatique, la banquise de l’Arctique va continuer à fondre et le Gulf-Stream va se retrouver tout chamboulé, entrainant par la même la disparition du courant modérateur thermique de l’Atlantique Nord. Ce qui, paradoxalement dans ce contexte inflationniste du Fahrenheit va déclencher une vague de froid digne de l’Age de Glace version 3D-j’ai-la-goutte-au-nez-atchoum !


Les toutous-matous se retrouvant congelés, qui va vous tenir compagnie ? Ben, Nestor, voyons !

 

Considérations alimentaires... Que mange une hirondelle ??? (d'Afrique)

 

Ok... c'est un pigeon, mais j'ai pas trouvé plus sympa !!!
Ok... c'est un pigeon, mais j'ai pas trouvé plus sympa !!! 

 

Que mangent les oiseaux migrateurs, et en particulier les hirondelles ?


Et pour cerner encore plus le sujet de ce papier, que mangent les hirondelles d’Afrique ?


Et d’ailleurs, pourquoi cette dichotomie zoologique entre Afrique et Europe ? Les hirondelles aussi doivent-elles avoir leur passeport (Papier ! Kontrol !) ?


En fait, contrairement à la croyance populaire, et au risque d’affronter sa vindicte (qu’ils y viennent, qu’ils y viennent, les gueux !), hirondelle d’Europe et d’Afrique ne font qu’un seul et même volatile. Les Monty Python peuvent aller faire du tourisme en Europe du Sud-Est, ça leur rappellera leurs tendres années à l’internat du collège de St Martin in the Fields.


Pas compliqué pourtant, en été, l’hirondelle est en Europe, et en hiver, telle la bobo branchouille, elle se barre en Afrique passer Noël au soleil, c’est tellement plus tendance, tu voââââââ…


Mais ça ne nous dit toujours pas ce qu’elle graille, la volaille… Ben, il lui faut du gras au piaf. Du gras pour qu’il se constitue une réserve de carburant afin de tenir en plein vol pendant des plombes et des bornes à n’en plus finir. Interdiction d’amerrir, pour cause de glou-glou immédiat. L’hirondelle ne sait pas nager, on vous causera des canards une prochaine fois. Interdiction d’atterrir itou, à cause des chasseurs friands du volatile. Et pourtant, c’est pas bon, ya que des os, des plumes, et pas grand-chose.


Alors, misère de grenouille de mirmidon, où c’est qu’elle planque sa graisse ? Ben, elle la planque bien. C’est injuste, ya des gens comme ça, ils ne font pas gros, et pis, quand ils disent leur poids, de suite, ça fait mammouth… L’hirondelle, c’est pareil, on la confondrait presque avec une autruche. Donc, pour le cuicui, il faut du gras, et le volatile le cache bien.


Et on ne sait toujours pas la composition du menu du zoziau… Triste époque où Alzheimer guette au coin de la ligne le rédacteur distrait par l’ombre enchanteresse d’une apparition fantomatique (non, pas Michael Jackson) seulement caractérisée par ses coordonnées spatio-temporelles : 95-60-85. Spock à l’inter, téléportation !


Et où en étions-nous, surtout moi, avant d’être interrompu par moi-même ?
BBP, taisez-vous mon vieux et laisser ce besogneux de chroniqueur faire son pénible travail, déjà que c’est gonflant de le lire, et ce sans silicones. Oui, j’y tiens, le « 95 » est absolument naturel, aucun effet 3D numérique foireux.


Où en étions-nous ? … On allait inviter une hirondelle à se baffrer un Big Mac.
… silence dans l’assistance…
« Ah passque l’hirondelle, elle mange de la viande ? »
… Ben, pas vraiment, mais comme le Big Mac dégouline de cholestérol mieux que les frites de la baraque à Jojo l’Asticot sur la Grand-Place de Tap-Cul dans le Pas-de-Calais (cherchez, ça existe !), l’hirondelle, en plus de s’éclater en vol sur du Lady Gaga à donf dans son MP3, elle bouffe du Big Mac.
Et comme ya pas de piaf dans la composition ultra-chimique du machin, elle ne craint rien. Pas comme ces connes de vaches qui se goinfraient de farine à la vache… Tsss tsss tsss…

Vous ne me croyez pas ? Regardez donc le résultat du régime Mac Do’ sur les pitis zaméricains. Petits, oui, mais c’est relatif, il leur faut deux places d’avion, et l’arrière d’un space-wagon (un break en français) pour tenir leur carcasse. Alors, l’hirondelle pas plus conne qu’une autre, a repéré immédiatement le bénéfice énergétique de la boustifaille plastico-yankee : un minimum de matières pour un maximum de graisses.
Arrivée en Afrique, la bête a retrouvée sa ligne svelte d’athlète de JO, et comme le hamburger est désormais international, elle snobe les plats locaux (comme tous les touristes) pour se ruer dans l’échoppe américanisante et se refaire des réserves pour le retour.
Bref, l’hirondelle ne reste pas longtemps belle et classe, elle reprend vite du gras.


Quelle tristesse de voir un si gracieux volatile se métamorphoser en cachalot volant !


Encore une victime de la mondialisation cuisinaire…

Damned !!!

 

Attention quand vous sortez vos hérissons !

 

Hérisson des mers Voici Kiki ! Vous connaissez Sonic.

Hérisson des mers
Hérisson des mers 

 

Le hérisson (ou l’hérisson si vous arrivez à aspirer les épines) est un petit animal très affectueux. Et très câlin si vous l’avez sociabilisé et comblé de pucerons. Vi, vi, vi, les pucerons sont au hérisson ce que le Nutella est au tamanoir : un délice ; surtout quand les fourmis se retrouvent prises dedans, les tamanoirs sont alors proches du Nirvana (and it smells like ant spirit).


Mais revenons à nos hérissons, qui ne sont pas des moutons, même s’ils sont trèèèèès gentils.


Alors, un hérisson câlin et mignon tout plein va avoir tendance à faire dehors comme à la maison avec vous. Sauf que dehors, c’est pas dedans, et réciproquement. Et quand vous êtes dedans, vous n’oubliez pas de mettre vos collants en carbure de tungstène ignifugé, et que dehors, même par grand froid, vous mettez simplement des pantalons. Tout comme les gens autour.


Et si le hérisson adore se gratter les piquants dans les mailles de vos collants sont « hedgehog-proof », les bas Dim de la petite voisine du dessus que vous convoitez concupiscamment n’y résisterons pas longtemps et réduiront à néant vos semaines de dur labeur de séducteur-rameur succédané de vil frimeur.


Faites donc très attention à l’éducation de Kiki (si votre hérisson est gris) ou de Sonic (s’il est bleu). Apprenez-lui tout petit à faire piquant de velours, c’est à peu près la même chose qu’avec un chat, sauf qu’au lieu de cinq griffes à chaque patte, ben, ya plus de probabilités de se piquer. Normal, la capacité de blessure est directement proportionnelle au nombre de piquants, et si en plus vous nourrissez votre hérisson avec des cochonneries pas bio du tout, il va engraisser, et là, on passe à la vitesse exponentielle en plus d’un emplâtre à quoi ? ben à la graisse de hérisson, … faut suivre, hein, ho !


Le hérisson est aussi très timide et très craintif. Si un stupide cabot aboyeur approche de lui en faisant usage de son mégaphone canin, deux solutions.


Vous améliorez votre shoot et expédiez la boule puante décibellante entre le poteau de sens interdit et celui de stationnement interdit, vous marquez un but, et Chabal vous félicite virilement, c'est-à-dire en vous plaquant fraternellement sur le coin du trottoir.


Ou alors vous prenez Kiki (ou Sonic) dans les bras, surtout si c’est Chabal qui promène son Yorkshire. Le plaquage ne serait plus fraternel mais sanglant et ferait la fortune de votre dentiste et provoquerait la ruine de votre mutuelle.


Il est d’ailleurs tellement plus mignon de se promener avec Sonic (ou Kiki) dans les bras, les filles raffolent de ces charmantes petites bêtes, et en les gardant loin de leurs fragiles jambes, vous pouvez engager la conversation et mettre donc à profit les efforts d’approche de sniper-lover vers votre adorable voisine du dessus.


Enfin, un hérisson peut se révéler un excellent animal de défense quand on lui souffle dans la truffe, il joue alors le rôle terrestre d’un diodon (le célèbre poisson-piquant) et dissuadera maints cuistres à casquettes de monter le volume à fond de leur dérisoire téléphone portable de cake pour abreuver le quartier de leur musique de daube faite sur un coin d’ordinateur buggé et infesté de virus. Ou alors, ils changeront de morceau et mettrons, pourquoi pas, du Motörhead.


La boucle est bouclée et je vais me coucher.


Amen !

 

 

Lemmy : Let's go baby !!!

 

The Godfather of Heavy Metal !
The Godfather of Heavy Metal ! 



« Faire un film sur Lemmy ? Avec ses dents pourries, ses verrues ? … Non, trouvez quelqu’un d’autre, ça marchera pas… »

 

Aaaah là là… c’est dur de trouver du soutien de la part des producteurs soumis à la tyrannie du R.O.I. (*)

 

Lemmy, c’est l’âme de Motörhead, c’est peut-être le survivant dans le dernier bastion de liberté récupéré par le système capitaliste artistique. Ce bastion, c’est le rock, et oui, Lemmy est un survivant. Certainement une Force de la Nature avec tout ce qu’il ingurgite. C’est surtout une Force de l’Art Brut pour résister au formatage, aux études de marché, à l’audience (de toute façon, avec plus de 110 db au concert…hein ? Quoi ? Qu’est-ce que vous dites ???)

Au-delà de l’aspect cirage de santiags du documentaire, on vois surtout La Personne derrière Le Personnage. Et donc… C’est un mec gentil, aux antipodes de l’image de la brute que les coincés du fondement colportent à propos des adeptes des grosses guitares et des batteries turbo-compressées.

Lemmy, c’est un gentleman, un mec bien, quoi ! C’est nunuche ? Pas sûr… Et faut que ce soit un dur de dur qui apprenne ce qu’est la politesse. Dingue, non ?

Et un artiste intègre… ça, c’est rare, très rare. Une pépite d’énergie dans la soupe immonde que nous sert la radio, la tévé et le ouaibe…

 

Let’s go baby !!!

http://www.youtube.com/watch?v=cTKw2ssDr7w

 

(*) R.O.I. : à l’intention des étrangers à la Chose de la Finance qui fait couler le monde, « R.O.I. » veut dire « Return On Investment »… Ah, vous causer pas l’angliche en plus ? … OK… « Retour Sur Investissement », ça va mieux ? Toujours pas ? Ok, ok, on va causer le langage des hommes d’affaires « le pognon que toi y en a espérer ramasser en vendant le machin ».

 

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