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Et si on décompressait ?

 

Un Grand Bleu !!!
Un Grand Bleu !!! 
 

Histoire d'étoffer un brin une petite vanne sur le mur de FB, je développe le sujet : « Luc Besson est-il un con ? Si oui, pourquoi ? Sinon, est-il bon ? Alors pourquoi donc ? »


Bien sûr que non, il n'est pas con ! Comment voulez-vous qu'un con se retrouve avec une filmographie aussi riche de succès et à la tête d'une boite de production, Europa Corp, aussi importante ?


Alors pourquoi ajouter mon opprobre à l'édifice tintinnabulant du père Luc ?


Ben, pour faire mon intéressant, voyons !


Mister Besson a clairement assimilé les codes des films d'action amerloque pour nous ressortir à travers ses films ou ses productions des copies conformes à l'original du même niveau que les créations hamburgeristiques de Quick face à Mc Donald's.


Soit.


Des films d'action à la papa avec Henri Verneuil dans les 70's, on est passé à des machins largement plus pêchus.


OK.


Le pépère a un oeil acéré, tout comme ses crocs, la meilleure preuve étant « Atlantis », faux-film, faux-documentaire mais œuvre vraiment esthétique qui annonçait les films de Jacques Perrin ("Le peuple migrateur" et "Océans" par exemple)


Je soupçonne toutefois le bonhomme d'être un boulimique de pouvoir, et de manquer souvent de jugement.

Un réalisateur, c'est avant tout une personne qui a une vision d'une œuvre. Quelqu'un qui doit traduire en images et en mots ce qui est du 100% écrit. Ou alors, il transpose une BD.

On part souvent d'une histoire ou d'un scénario, et ensuite, hop ! On choisit les acteurs, on leur essplique l'histoire, on les dirige, on filme, on monte le film, etc...


Besson est à 99% le scénariste de ses films. Il n'a pas écrit que des daubes. Exemple : « Nikita » et « Leon ». Les personnages sont assez fins et complexes pour accrocher le spectateur.

Dans ces deux films il a aussi montré qu'il était capable de diriger ses acteurs. Grâce à lui, Anne Parillaud a eu certainement le rôle de sa vie. Et il a eu le flair d'engager Natalie Portman, extraordinaire de maturité, de fragilité dans « Leon ».


Il y a du bon en lui... Il y a du bon...


Mais qu'est-ce qu'il y a comme déchets aussi !!!


Venons-en au « Grand bleu », film mythique, culte (mot galvaudé et à la mode) de toute une génération. La même qui ratisse de Nounours à Casimir. Bref, des gens aux gouts très sûrs.

Déconnez pas, j'adore Nounours et la Maison de Toutou : http://www.dailymotion.com/video/x5lsah_la-maison-de-toutou_fun


Ce « Grand bleu » a eu un tel pouvoir fascinatatoire qu'il y a eu une recrudescence de noyades en tout genre. … Et je suis sérieux ! C'est arrivé. C'était peut-être une conséquence darwinienne...

De très belles images, certes, … mais alors l'histoire,...

Pourquoi avoir fait de Jacques Mayol un autiste pleureur ?

Le gars qui a l'ivresse des profondeur déjà sur le plancher des vaches ?

Il arrive à emballer Rosanna Arquette (nom de Zeus) et il préfère les morues qu'il croise à -50m ?

Et, Enzo Molinari un matuvu que même en Italie on n'en voudrait pas ?

Vous ne trouvez pas ça un peu gros ?


Quand on fait du cinéma, le financement est un horrible cauchemar, alors faire le procès des artistes qui font du 100% commercial est malhonnête.


Pour autant, est-on obligé de mélanger commercial avec connerie ?


 

C'est de l'art, ça ? Moi pas comprendre...

 

Belle affiche, certes...
Belle affiche, certes... 
 

« Aye caramba ! » comme dirait Bart Simpson.


Je viens de m'échapper à l'instant d'un truc très étrange. Le genre de machin que même Arte ne veut plus diffuser, sauf entre 3h et 4h du matin s'ils voulaient concurrencer TF1 avec leurs documentaires « chasse, pêche et nature ».


Le Spectacle Visuel Non Identifié s'appelle « Les nuits photographiques – Premier festival dédié au film photographique ». L'affiche est jolie, on imagine une représentation qui nous renvoie un peu à la lanterne magique. Quand l'art devient volontairement minimaliste, ça peut avoir du charme. Un antidote à la débauche d'effets spéciaux 3D en attendant l'aboutissement de l'odorama pressenti dans « Polyester » par ce cinglé de John Waters.



En préambule, en « before », disent les branchouilles, on a droit à un DJ qui mixe des bouts de séquences spécialement conçus pour les blaireaux comme moi qui ne savent pas compter plus loin que « 0, 1 » : du binaire pur jus qui devient vite lassant passé seulement 5 mn. La version musicale des « Temps modernes » de Chaplin, l'anéantissement du bulbe, l'aliénation du cervelet, l'annihilation de l'encéphale, la trépanation finale, couchons-nous et demain, la musique machinale coulera le genre humain (version destroy d'un célèbre chant qui fait pogotter Karl Marx dans son cerceuil).



Au bout d'un trèèèèèès long moment, après l'intro de rigueur par des personnes qui, de toute évidence, ne savent pas parler dans un micro, ce qui rend leur propos inaudibles, nous avons droit au premier film d'honneur.



Qui dit « film d'honneur » dit forcément, œuvre d'un maitre en la matière. Non ?



On a droit à des photos de mecs à poils dans la neige. Des randonneurs semblent-ils. La voix-off nous explique le bonheur de faire de la randonnée pieds nus. Mais pas de précision sur le reste. Décalage complet entre les zigotos à loilpé et le commentaire qui n'évoque QUE les pieds nus. Comme c'est bizarre ! Est-ce que les photos sont belles au moins ? Même pas, c'est de la fesse triste, du bedon Kronenbourg, des bras squelettiques, de la stouquette éteinte, des burnes planquées. Si au moins c'étaient des Chippendales, les frangines et les potes un brin joyeux seraient comblés.

Même pas. L'anti-pub du nudisme.



N'ensuite, une succession de portraits d'asiatiques que je devine chinois(es), car il est question de leurs peurs. Vu le régime hautement démocratique chez nos amis chinois, ce film fatalement humaniste et rebelle doit parler des trouilles vertes chez les chinois rebelles et humanistes.

Malheureusement, n'ayant pas fait mandarin en 1ère langue ni en 2ème, j'ai du mal à comprendre, d'autant plus que les sous-titres sont lisibles sur la moitié de l'écran et illisibles sur le reste, et ce aléatoirement, ce serait pas assez drôle, mes Drôles !

Répétitif, lassant, ennuyeux. Pléonasme ? Tout à fait !



La dernière tentative portait sur le thème récurrent du narrateur-qui-est.

Comprendo ? … Facile, pourtant le concept : chaque photo donnait lieu à un texte qui commençait par « Je suis... ». Ben, moi, je suis sûr que Julien Lepers doit être derrière cette fourberie.

Pourtant, une phrase du style « Je suis le soleil qui verdoit et qui poudroie » avec une photo de station-service la nuit, ça m'échappe...

Si, en plus, on sous-mixe cette voix surréaliste avec une musique faussement classique agrémentée de basse synthétique en fréquence ultra-grave qui poussent les limites de la sono dans la bouillie pour bébé, on perçoit 2-3 mots dans un magma infâme digne des pires boites de nuit du Ploukistan.



Pour finir, le « happening », il doit s'agir de ça, se passant en plein air, nous avions le paradoxe d'être enfumés, car entourés de fumeurs compulsifs, et victimes de vents tournants qui faisaient que l'on avait toujours cette putain de fumée dans la gueule.

Que croyez-vous qu'il arriva ? On se barra, point barre.



Un peu de catch à la télé pour revenir dans le monde médiocre des vivants. Manquait plus que la bière et les chips pour accorder nos cerveaux assurément sous-dimensionnés à la Culture avec un grand « C ».



« C » comme Connerie ? Couillonade ?

 

La rose pourpre du Caire : une bien jolie rose !!!

 

Une invitation au rêve pour mieux se libérer.
Une invitation au rêve pour mieux se libérer. 

 

Les plus assidus d'entre vous connaissent une de mes phrases favorites : « Le cinéma américain est niais car il montre la vie telle qu'elle devrait être. Le cinéma français est ennuyeux car il montre la vie telle qu'elle est. »

Il y a un film qui montre les deux. Il est fait par le plus européen des auteurs américains.

You got it ?

...


Woody Allen ! Petit par la taille et le poids, grand par son imagination, souvent génial, rarement moyen.


Sa « Rose pourpre du Caire » est un hommage fantastico-poétique au 7ème art en général, à son Age d'Or aussi, aux femmes courageuses, aux hommes bons et loyaux.


La triste vie de Cecilia, incarnée par Mia Farrow splendide de gentillesse, est gâchée par un mari feignant, buveur, menteur, violent. C'est d'ailleurs étonnant comme ces « qualités » vont souvent ensemble... Le genre de type que l'on collerait avec plaisir dans une prison gardée par des féministes louves-garou dopées aux amphétamines radio-actives.

Comme si cela ne suffisait pas, elle se crève au boulot pour un patron capitaliste qui mériterait à lui seul la Révolution d'Octobre.

Le passion cinéma est le jardin secret qui la sauve de cette grisaille ambiante sur fond de crise des années 30.


Les salles obscures lui apportent la lumière qui lui manque tout le reste du temps. Les nuances de noir & blanc lui repeignent sa misérable existence aux couleurs du rêve hollywoodien.


Un film retient encore plus son attention que tous les autres, c'est « La rose pourpre du Caire ». Il retourne le voir encore et encore.

Tout bascule lorsque Baxter, le héros du film, sort de l'écran et l'enlève. Comme c'est romantiiiiiiique !!!


A partir de là, l'ami Woody s'amuse avec beaucoup de tendresse de tous les clichés des films de cette époque.

Le héros est parfait, du 100 % clair. Courageux, loyal, bon, etc... les filles, complétez la liste avec tout ce que vous voulez, je dis bien « TOUT ». Allez-y, lâchez-vous, faites-vous plaisir, c'est la tournée de Woody, il régale de faux champagne – vraie limonade, sans gueule de bois.


Comme Mr Allen est un petit canaillou, il pousse la logique de cet événement incroyable jusqu'au bout. Le héros n'étant plus dans le film, ça fout toute l'histoire en l'air, et les protagonistes ne savent plus quoi faire. Mais ça ne suffit pas, cette révolte se répand dans tout le pays, heureusement les exploitants (qui a dit « exploiteurs »?) des salles ont eu le réflexe salvateur en coupant la projection avant que leur Baxter ne descende de leur écran.


Un moment délicieux : la confrontation entre le héros de cinéma, bon comme le pain, et l'acteur qui lui a donné vie, roublard comme le vin. Les deux faces d'une même pièce, en somme.


Des instants hilarants :. En vrai bon héros soumis au code de moralité en vigueur, Baxter ne sait rien, mais alors rien de la « vraie vie ». Il est étonné de voir des femmes enceintes dans la rue. Cecilia lui explique, et il n'en revient pas, le pôvre ! Et pour finir, sa visite impromptue dans une maison close. Le raccourci est tellement rapide, pauvre petit chou...


Le père Allen aurait pu nous concocter une fin pur nunuche, il évite le piège en rendant Cecilia libre de son ### de mari et de son boulot aliénant.


Le cinéma et ses rêves lui ont donné la force de se libérer. Jolie fin.


Ce film est une parfaite leçon de « clair-obscur ».


L'obscur : sa vie, son mari, son boulot, les gens.

Le clair : elle-même, le cinéma, les personnages.


La subtilité du scénario vient justement des oppositions manichéennes des séries B. En partant de ces histoires remplies de personnages très marqués, il s'en moque gentiment, les reprend à son compte pour leur donner forme dans une réalité sans espoir.

Cecilia est 100% claire.

Son mari est 100% obscur.


That's all, folks !

;o)


 

The Kat : du blues félin (miaou !)

 

... and another cat ! The Kat

... and another cat !
... and another cat ! 

 

Pour moi qui voue aux félins un culte digne de l’Egypte antique, une chanteuse qui se fait appeler « Kat » va forcément attirer mon attention.

Si la chanteuse en question donne dans le blouze, le rythme et blouze et autres musiques noires du même tonneau, c’est encore mieux !

 

Et à part ça, Kat, qui c’est-y donc ?

C’est quelqu’une qui fait mentir John Lennon qui disait « French rock is like english wine ». …

T’aurais pu dire « english food », Johnny, mais bon, passons, dans les 60’s, c’était vrai, mais ya de moins en moins de blaireaux de ce coté-ci de la Manche et de l’Atlantique.

 Au hasard : Paul Personne, c’est pas dégun, heing ! (jeu de mots régional que seuls les marseillais ou fans de l’OM peuvent comprendre).

 

Kat & sa bande du Midnightsun ne cherche pas à accrocher une n-ième émission de TV-Crochet mâtinée de TV-réalité tout aussi irréelle que le succès à la clé des gagnants.

Elle fait pas ça, Kat, elle chante tout le temps devant des vrais gens. Elle a appris son métier face à un vrai public qui ne fait pas « coucou » devant la caméra.

Et vous savez quoi ? Ca s’entend. C’est sincère et honnête. Big difference. Enormous, même.

The Kat nous distille un blues-rock vintage qui vous installe dans la De Lorean de Marty Mc Fly pour vous envoyer « back in ze 70’s ».

Une chanteuse avec une voix chaude, sensuelle, puissante sans se croire obligée de casser les verres et les tympans du premier rang. Merci pour mes esgourdes et tant pis pour Audika.

Une très bonne prod, à l’ancienne donc, avec des vrais zicos sur des vrais instruments. Un truc totalement hors du temps en ces périodes maudites de machins-bidules bricolés sur un ordinateur. Ici, ça transpire de feeling, ça racle l’harmonica, ça tape sur des vrais drums (no bambous allowed, please !), ça triture des cordes, ça souffle dans des vrais cuivres sur des tempos médiums bien groovy qui ronronnent … comme un chat !

Des compositions pour la plupart originales faites sur mesure pour la Féline Miss qui met aussi la patte (miaou !) à la pâte. On note, entre autres, un collaborateur d’Etta James : Kevin Bowe, Jean-Jacques Milteau, Boney Fields : il a bossé avec Luther et Bernard Allison. Et et et et les autres qui connaissent bien leur métier. No souci.

Première partie de l’album plutôt en angliche, la fin presque en french. On passe de l’un à l’autre naturellement.

Fermez les yeux, vous n’êtes plus dans le bus, vous conduisez une Corvette StingRay ou une Harley Sporster IronHead tranquille peinard à 55 miles/hour.

Yeah !


Allez donc faire un tour ici : http://www.mid-night-sun.net/

 

 

All we hear is Radio Gaga...

 

Et la gestuelle !!! Coiffures, costumes, tout est là !

Et la gestuelle !!!
Et la gestuelle !!! 
 

En ces temps troublés de stupre, luxure, débauche et violence, Big Bad Pete se doit d'apporter sa pierre à l'édifice forcément phallique de l'amoindrissement cul-turel ambiant.


Ça ne veut rien dire, mais ça sonne bien !


Causons donc un peu de « SJAG », les sigles nominatifs étant à la mode, pourquoi n'en userais-je point moi aussi ?


Savez-vous qui est « SJAG » ?


Non ? Rassurez-vous, je vien de l'apprendre grace à Wikipedia. « SJAG », c'est Stefani Joanne Angelina Germanotta, plus connue sur le sobriquet débilitant de « Lady Gaga ».


Ha yié ! C'est le début de la fin, BBP déconne à pleins tubes, il se vautre dans la fange (lui aussi) et il vend son âme au diable (m'en fous, j'y crois pas, et pis de toute façon, je joue les musiques du diable depuis plus de 30 piges).


Point de tout ceci, hordes de fans intégristes, gardiens du Temple des 12 mesures, apologues de la distorsion, chantres du ternaire, aficionados des dissonances. C'est juste un article putassier pour faire sauter les compteurs de fréquentation de ce blog anémique.


Ah, nom de Zeus, comme la chair est faible... Comme il est difficile de résister aux multiples tentations me disait récemment un futur décapité dépité député.

Curieux et à l'affut des nouvelles perversions que TF1 et M6 nous délivrent par tombereaux, j'ai donc jeté une oreille sur « Fame Monster ». Et ça donne quoi ? Quelle est la recette du succès de la donzelle ? La voici :


Prenez une voix avec de la présence naturelle puis, passez-la à travers les plug-in de Pro Tools pour lui donner une couleur plastoc (c'est quoi « une couleur plastoc » ? ça ressemble à une boite de Big-Mac...)

Afin de réduire les couts et s'affranchir des frasques des musiciens, programmer le tout dans un séquenceur à la noix, et youpi-hourra-voilà-tralala on a des trucs parfaits pour faire bouger les popotins des gamins de la ménagère et du pépère de moins de 50 ans.


Alors, la Diva Gaga, une comique de plus ?


Ah bah, c'est certain que les quasi porn-clips, les excentricités du genre costume bidoche, les fausses larmes à répétition on stage, tout ça ne va pas donner une bonne image du football !


Mais... comme disait Pete Townshend « A good song has just to be played on a guitar or a piano ».

Autrement dit, pas besoin d'en faire des tonnes, une bonne chanson c'est un(e) chanteur(euse) et un piano ou une gratte. Et pis c'est tout.


Version originale indigeste comme un hamburger-choucroute :

http://www.youtube.com/watch?v=bESGLojNYSo (et je vous dispense des paroles crétines...)


La même déjantée, ici se prenant pour une copie de Barbra Streisand shootée au LSD :

http://www.dailymotion.com/video/xau1hw_lady-gaga-poker-face-live-2009_music


Et pour finir, un ancien participant de la « Vilaine Star » à la sauce ketchup, Chris Daughtry, il s'en sort pas si mal :

http://www.youtube.com/watch?v=t90dFkM9acg


Conclusion ?

Enlevez toute la production dance-pétasse, et ça donne une chanson potable.

En plus, la fille sait chanter et joue correctement du piano.

Sauf que... si elle n'était pas quasiment à poil et déjantée, dans ce monde où le cul est roi, où les fesses sont reines, on ne ferait pas gaffe à elle... Zut...


C'est en tout cas, un cran au dessus des sombres bouses électro fabriquées à la chaines par des DJ de 15ème zone pour gaver les batteries de volailles transgéniques par procuration qui se trémoussement même pas en rythme sur les dance-floors.


Je suis quand même d'accord avec le monsieur :

http://www.youtube.com/watch?v=EhzpZPUy0WE

C'est en fait, à peu près du même tonneau que Marylyn Manson : beaucoup de com', de l'esbrouffe, de l'opportunisme, mais quand même une once de talent.

Euh... je retire, le Révérend Manson est nul sur toute la ligne, même pas foutu de pondre une chanson acceptable, les seules qui étaient sympas étaient des reprises.


Tiens, en parlant de reprise, la meilleure, c'est celle-là :

http://www.youtube.com/watch?v=haHXgFU7qNI


Elève Germanotta : 4/10, peux mieux faire, et c'est pas en faisant n'importe quoi que vous ferez quelque chose dans la vie !

 

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